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  • Débutant Demandé le 19 janvier 2020 dans Conjugaison

    Une petite illustration de la bonne concordance conditionnel (principale) / Subjonctif (subordonnée) :
    dans la pièce « Le Souper », de Jean-Claude Brisville, le personnage de Talleyrand corrige le personnage de Fouché : on ne dit pas « Je voudrais que l’on m’ouvrît la porte », on dit  » Je voudrais que l’on m’ouvre la porte ».   L’action de la subordonnée est ici simultanée par rapport à celle de la principale, donc pas d’imparfait du subjonctif… Le verbe de la principale est au conditionnel présent et le verbe de la subordonnée doit suivre.
    En revanche : « J’aurais voulu que l’on m’ouvrît la porte », nécessaire… et magnifique !
    Ecco.

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