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Une petite illustration de la bonne concordance conditionnel (principale) / Subjonctif (subordonnée) :
dans la pièce « Le Souper », de Jean-Claude Brisville, le personnage de Talleyrand corrige le personnage de Fouché : on ne dit pas « Je voudrais que l’on m’ouvrît la porte », on dit » Je voudrais que l’on m’ouvre la porte ». L’action de la subordonnée est ici simultanée par rapport à celle de la principale, donc pas d’imparfait du subjonctif… Le verbe de la principale est au conditionnel présent et le verbe de la subordonnée doit suivre.
En revanche : « J’aurais voulu que l’on m’ouvrît la porte », nécessaire… et magnifique !
Ecco.- 13071 vues
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