Le profil de Bruno974
Grand maître
6629
points

Questions
19

Réponses
786

  • Grand maître Demandé le 21 avril 2023 dans Question de langue

    Personnellement, je privilégierais la pratique plutôt que la théorie au bénéfice de la lisibilité. On pourrait sinon imaginer des mises en abyme qui n’en finissent pas. Je mettrais donc tout en italique puisqu’il s’agit simplement de citer ce qui est devenu le titre. Je ne différencierais que sur le titre de couverture de l’ouvrage.

    • 651 vues
    • 1 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 21 avril 2023 dans Général

    Pssst

    que la mairie avait cherché 

    • 607 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 20 avril 2023 dans Question de langue

    Bonsoir,
    La lune, comme le soleil, est un objet visible du ciel dont le nom commun a été défini comme tel bien avant qu’on comprenne sa véritable nature astronomique. Tous les emplois ordinaires conservent la minuscule. La majuscule ne s’applique que lorsque c’est l’astre, du point de vue de sa réalité astronomique connue de manière moderne, qui est désigné. En aucun cas, le satellite de la Terre ne se lève, c’est une image, une illusion et on écrit donc : « La lune se lève. » Lorsque les humains sont partis l’explorer, c’était bien physiquement  l’astre : « Ils ont entrepris l’exploration de la Lune« . Quant à l’observer, tout dépend de votre intention scientifique, vous pouvez tout aussi bien observer la lune que la Lune !
    Le même type de dilemme se rencontre en biologie. La majuscule s’applique au nom de genre lorsque c’est l’espèce ou le genre qui est désigné, en tout cas dans les écrits spécialisés, pas quand il s’agit d’individus : « En parcourant la toundra, nous avons croisé quelques renards polaires. » « Le Renard polaire est présent tout autour de l’Arctique. »

    • 936 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 19 avril 2023 dans Général

    Bonsoir,

    L’emploi de la préposition à sert surtout à introduire un sens réflexif : une bonne raison à donner,  à opposer,  à faire valoir, à invoquer, etc.  On donne la raison, on l’oppose, on la fait valoir, on l’invoque, etc.

    • 680 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 19 avril 2023 dans Accords

    Bonsoir,
    Pourquoi pensez-vous que ce puisse être un adjectif verbal ? Si cela avait été le cas, vous auriez écrit : « À intervalles réguliers, ces oiseaux ressemblants à des ensembles de feuilles bleues virevoltaient dans les montagnes enneigées et les jungles de l’Himalaya. » L’usage habituel de l’expression ressemblant à est celui du participe présent, comme se comparant à, participant à, etc. Il fonctionne très bien dans cette phrase. Pourquoi se compliquer alors  à lui donner un autre sens, possible mais improbable ?

    • 1053 vues
    • 8 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 19 avril 2023 dans Question de langue

    Bonsoir.
    À propos de la 2e partie de votre question, l’emploi du présent dans la principale  « Qu’il soit venu hier ne m’étonne pas. » signifie qu’au moment présent où vous parlez, vous n’êtes pas étonné(e). C’est parfaitement correct.
    Si vous aviez utilisé le passé composé « Qu’il soit venu hier ne m’a pas étonné(e).« , cela aurait voulu dire qu’en le voyant arriver hier vous ne vous êtes pas étonné(e) ou du moins que vous vous êtes fait la réflexion il y a déjà un certain moment.

    Comme l’ont déjà très bien expliqué mes camarades, l’emploi du subjonctif s’impose dans la subordonnée et ne crée aucun doute sur le fait qu’il est réellement venu. Cependant, si vous pensez en employant le subjonctif qu’on pourra comprendre qu’il y a une incertitude, n’hésitez pas à bousculer la composition de votre phrase en disant par exemple : « D’apprendre (ou De constater, De m’apercevoir…) qu’il est venu hier ne m’étonne pas« .

    • 1066 vues
    • 6 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 19 avril 2023 dans Accords

    Justine, réagissez ! Vous posez une question et vous ne dites pas si une réponse vous convient, si, à propos de ces parents, c’est un couple qui s’exprime ou si c’est une généralité qui est dite. Votre silence est désarmant !

    • 697 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 avril 2023 dans Conjugaison

    Salut,
    N’ayez aucun doute en répondant à la phrase : « Qui a le ballon de Marc ?« ,  dites : « C’est moi qui l’ai.« 

    • 634 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 avril 2023 dans Accords

    Bonsoir

    Comme on remplace nous, on accorde les attributs et les participes au pluriel : « Quand on est devenus parents »
    Si vous en avez la possibilité, préférez dire : « Quand nous sommes devenus parents »

    Cette réponse a été acceptée par Justine1267. le 19 avril 2023 Vous avez gagné 15 points.

    • 697 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes
  • Grand maître Demandé le 18 avril 2023 dans Conjugaison

    Bonjour,
    Il n’est pas pertinent d’analyser un texte du XVe siècle avec les outils de la langue moderne. À l’époque, l’orthographe du français n’était pas encore inventée. On peut cependant se demander si aujourd’hui on pourrait l’écrire de la même façon. A priori, il faut accorder au pluriel un verbe commandé par deux sujets :  » …Où croissent la rose et le muguet. » Cependant, on peut aussi envisager une non-répétition du verbe croître qui autoriserait le maintien au singulier « … Où croît la rose et [croît] le muguet. » Une telle construction n’est possible que grâce à l’inversion des sujets.

    • 786 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes