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Bonjour,
Lorsqu’un adjectif différencié existe, c’est celui-là qu’on utilisera de manière courante et prioritaire à chaque fois qu’il faut qualifier la personne ou la chose concernée. On réservera le participe présent à des emplois soutenus lorsque c’est l’action du verbe qui seule peut donner du sens au propos ou qu’elle doit être soulignée. Avec votre exemple :- « Mon frère, excellent en chimie, est entré à l’université. » = « Mon frère, qui excelle en chimie, est entré à l’université.«
- « Mon frère, excellant en chimie, est entré à l’université. » = « Mon frère, parce qu’il excelle en chimie, est entré à l’université.«
Si vous devez insister sur le sens verbal, préférez néanmoins une formulation explicite qui évitera toute difficulté de compréhension de la part de votre lecteur : « Mon frère, parce qu’ / comme / du fait qu’ il excelle en chimie, est entré à l’université. »
N’oubliez pas enfin de placer le groupe adjectival entre deux virgules, il est en apposition et a une valeur attributive ; ce n’est pas une épithète, comme dans l’expression mon frère cadet.Cette réponse a été acceptée par Margarita. le 1 juin 2023 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
C’est un dispositif, improprement mais couramment appelé store, qui est principalement constitué d’une banne. On pourrait comparer la construction à celle de jupe-culotte (une fausse jupe qui est en fait une culotte) ; le trait d’union serait logique mais l’emploi est surtout commercial et les marchands n’ont pas jugé nécessaire d’en mettre.
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Bonjour,
On peut en effet considérer qu’il s’agit là d’un verbe accidentellement pronominal : se lancer c’est lancer quelqu’un qui est soi-même ; dans ce cas l’accord se fait comme avec l’auxiliaire avoir, uniquement s’il y a un cod et si celui-ci est placé avant le verbe. Le pronom se (qui représente les entreprises) assure cette fonction de cod. Vous avez donc correctement écrit le participe passé : « …qui se sont lancées… »- 1720 vues
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Bonjour,
le pronom relatif dont « absorbe » la préposition de ; il peut par exemple remplacer de qui, de quoi, duquel : « la personne dont je parle. » = »la personne de qui je parle ».
Mais si le complément introduit par de est repris dans la subordonnée, alors on ne peut pas utiliser dont : « la solution à développer dont j’ai besoin. » / « la solution que j’ai besoin de développer.«- 546 vues
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Bonjour,
Le métier se dit au masculin certes, mais on peut désigner la personne qui l’exerce selon son genre et le féminin de facteur est bien factrice. D’ailleurs certains organismes ont déjà franchi le pas : Facteur / Factrice d’orgues : métier, études, diplômes, salaire, formation | CIDJ- 716 vues
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Au risque de me répéter : pas d’espace entre le signe moins et le premier chiffre des nombres négatifs. Vous pouvez consulter les règles typographiques à l’Imprimerie nationale qui sont citées par de nombreux éditeurs et sites en ligne.
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Bonjour,
Selon la norme européenne officielle, le signe moins des dates d’avant l’ère chrétienne n’est pas suivi d’une espace. Sauf si l’on vous y oblige, ce système n’est pas utilisé par les historiens qui préfèrent faire suivre la date de la mention BC (Before Christ) ou av. J.-C,
sinon BP (before present) ou AP (avant le présent) lorsque l’on veut éviter la connotation religieuse. Attention, il y a un décalage d’un an avec la norme européenne qui introduit une année zéro (inexistante dans les numérotations traditionnelles).- 493 vues
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En effet, à consulter la toile, on constate que les distributeurs et les directeurs d’expositions semblent très décontenancés pour citer à la fois titre et sous-titre.
L’usage en bibliographie est celui du point Picasso et la presse. Un peintre dans l’histoire- 476 vues
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Bonjour,
Le conseil de Tara est très judicieux. Référez-vous à des dictionnaires connus. La plupart proposent une version en ligne : gaine (Académie française), gaine (Larousse), gaine (Robert),etc.
Votre hésitation est néanmoins compréhensible car certains mots avec cette terminaison portent traditionnellement l’accent circonflexe (chaîne, traîne), d’autres n’en ont jamais porté (laine, haine, aubaine) et quelques uns l’ont perdu au fil du temps (faîne/faine).
Sachez que l’Académie française au titre des rectifications orthographiques de 1990 suggère d’abandonner l’accent circonflexe de tous les mots en aine. Vous ne ferez donc pas de faute en vous dispensant de cet accent.- 681 vues
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Bonjour,
Non, la première formulation n’est pas correcte. Si vous rédigez un rapport, une thèse, un article, appliquez absolument la deuxième proposition qui n’a rien de laid. Mais si vous voulez parler comme Yoda dans un texte libre, dites comme il vous plaira, on vous comprendra.- 603 vues
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