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  • Grand maître Demandé le 8 octobre 2023 dans Question de langue

    Bonjour,
    C’est une figure de style, une métonymie, où par raccourci on remplace l’agissant réel « L’auteur,  avec les paroles de cette chanson,  désirait  traduire un sentiment d’appartenance. » par son moyen : « Les paroles de cette chanson  désiraient  traduire un sentiment d’appartenance. » C’est d’autant plus acceptable que ces paroles sont plus qu’un simple outil mais aussi un support de l’intention qui subsiste au-delà de l’auteur.

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  • Grand maître Demandé le 8 octobre 2023 dans Accords

    Les règles exposées par  Joelle, Marcelle et Tara sont correctes, mais personnellement je n’utiliserais jamais l’infinitif dans un tel exemple puisque le sujet de la phrase (elle) est également l’objet du parachutage, et que le participe passé a ici quasiment valeur d’adjectif, comme on dirait » … où elle s’était vue prisonnière.« , ou alors je substituerais faire au verbe voir pour mieux marquer la position passive « … où elle s’était fait parachuter. = « … où elle avait été parachutée. » Ce n’est pas comme si le deuxième verbe était suivi d’un complément : « … où elle s’était vu offrir une place privilégiée.« 

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  • Grand maître Demandé le 7 octobre 2023 dans Conjugaison

    Bonsoir,
    Les deux modes sont possibles et se différencient par une nuance d’intention. Avec l’indicatif, l’impossibilité est factuelle (« Vous comprendrez que je ne peux…« ) : l’interlocuteur est invité à admettre la réalité.  Avec le subjonctif, l’impossibilité est d’abord pensée (« Vous comprendrez que je ne puisse… ») : l’interlocuteur est invité à s’approprier le cheminement mental de l’énonciateur. Après la formule « Vous comprendrez… » qui appelle à mener un raisonnement,  le subjonctif paraît plus évident, mais certains contextes peuvent néanmoins lui préférer l’indicatif.

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  • Grand maître Demandé le 4 octobre 2023 dans Général

    Bonsoir,
    Le commentaire ressemble à ce que pourrait produire une très mal nommée « Intelligence Artificielle » qui n’a pas su analyser le caractère purement partitif du déterminant du. La phrase est par ailleurs inutilement lourde, car « apporter du soutien« , c’est soutenirTout le monde soutient Christophe.

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  • Grand maître Demandé le 3 octobre 2023 dans Général

    Bonsoir,
    Forcée de trahir son mari (= forcément : comme la seule décision ou conclusion possible compte tenu des circonstances), elle tourne les talons.
    Forcée à trahir son mari (= contrainte par la force : une personne, une autorité l’a obligée à commettre cette trahison), elle tourne les talons.

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  • Grand maître Demandé le 24 septembre 2023 dans Accords

    Bonjour,
    L’usage est toléré pour les faire-part de décès qu’un déterminant commun pluriel puisse introduire une liste comprenant un ou quelques singuliers, mais l’usage s’applique plutôt aux parents plus éloignés, par exemple : ses cousins, cousine, neveux et nièces. Pour un frère et deux soeurs et par égard pour eux , préférez répéter le déterminant : son frère et ses sœurs.

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  • Grand maître Demandé le 24 septembre 2023 dans Accords

    Bonjour,
    L’usage est toléré pour les faire-part de décès qu’un déterminant commun pluriel puisse introduire une liste comprenant un ou quelques singuliers, mais l’usage s’applique plutôt aux parents plus éloignés, par exemple : ses cousins, cousine, neveux et nièces. Pour un frère et deux soeurs et par égard pour eux , préférez répéter le déterminant : son frère et ses sœurs.

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  • Grand maître Demandé le 18 août 2023 dans Question de langue

    Bonjour,

    Il faudrait fournir le contexte de ces citations, apparemment historiques, mais à première vue, j’accorderais un sens adverbial à seul : « Je ne suis sujet que de ma volonté. »,  « Je ne suis sujet que du roi de France.« 

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  • Grand maître Demandé le 16 août 2023 dans Général

    On prononce papetier, papetière. Il faudrait aussi dire papeterie, mais comme on dit papèterie, l’orthographe suivra.

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  • Grand maître Demandé le 11 août 2023 dans Général

    Bonsoir,
    Si le nombre (au moins approximativement) est connu de la personne qui s’exprime, alors « des membres d’une liste », c’est obligatoirement plusieurs membres mais pas tous.
    S’il s’agit d’une question : « Y a-t-il des membres de la liste intéressés ? », on peut néanmoins se retrouver avec un ou tous qui répondent positivement.
    S’il faut prévoir tous les cas de figure, par exemple dans un contrat ou un texte juridique, l’emploi d’une tournure formelle du type « tout ou partie des membres peuvent… », ou « un, plusieurs ou l’ensemble des membres peuvent… »

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