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Si vous le pouvez, évitez ce genre de formulation qui ne peut que prêter à confusion et requérir des règles d’accord alambiquées. En plus, c’est inutilement périphrastique car se voit-on réellement dans ce genre de situations ? Dites simplement : Les traitements qu’elle a infligés ou Les traitements qu’elle a subis.
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Bonsoir,
En effet le verbe se dévêtir au passé simple donne : Elle se dévêtit, mais les compléments de la phrase (Dans sa chanson / pour un empire), qui indiquent un fait d’analyse et de désir pris dans sa généralité, interdisent l’emploi du passé simple, temps réservé à la narration et à des évènements ponctuels. Vous pourriez en revanche dire : Elle se dévêtit et sauta à l’eau.- 298 vues
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Bonsoir,
De plus, l’adverbe plus n’est en général pas distributif. Vous devez le répéter : …en plus neuf et en plus moderne ou …en plus neuf et plus moderne.- 353 vues
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Bonjour,
Au-delà des débats sur la pertinence générale de la règle d’accord et du cas des relatives avec cela/ça/ce pour sujet, posez-vous la question de la passivation. S’il y a COD, alors la transformation au passif doit être possible : Jean m’a causé de la peine > De la peine m’a été causée par Jean ; Jean m’a fait de la peine ne peut pas être renversé en *De la peine m’a été faite par Jean. Une peine faite, ça ne peut être qu’une peine de prison ! L’expression « faire de la peine » constitue en effet un syntagme lié. Il n’y a pas de véritable COD et il n’y a donc pas d’accord : La peine qu’il m’a fait tout comme La peine que cela m’a fait.
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Comme vous l’a dit Joelle bien exprime un degré d’intensité moindre que très ou fort : un steak bien cuit l’est quand même moins qu’un steak très cuit.
L’usage de fort est moins courant que très en français standard mais il est fréquent dans certaines zones linguistiques en Belgique et dans le nord de la France par exemple. Voyez notamment la chanson Formidable de Stromae avec l’opposition formidable / fort minable.- 670 vues
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Bonjour,
Vous avez raison de vous poser la question car si le pronom neutre ce est généralement considéré comme neutre et singulier, le présentatif c’est peut néanmoins se tenir au pluriel (ce sont, ce furent, c’étaient) et cela est même considéré par de nombreux linguistes comme relevant d’un langage « soigné ». Vous pouvez donc écrire sans commettre de faute : « C’étaient des poils rétractables. » Est ce que l’adjonction d’une relative après ce oblige à rétablir le verbe être au singulier ? En général, oui, car c’est l’ensemble pronom + proposition ainsi constitué (Ce que j’avais pris pour des antennes) qui devient le sujet et à l’instar d’une proposition sujet est de genre neutre et de nombre singulier. Néanmoins vous trouverez des exceptions, notamment lorsque la relative est courte : Ce que vous dites sont des passions d’ignorance (Rohrbacher) / Ce que vous dites sont tout autant de visions (Grammaire des grammaires, Girault-Duvivier) / Tout ce que vous dites sont des mystères (Laurens). Lorsque la relative est plus longue, on reprend le plus souvent le pronom, ce qui vous laisse alors la liberté de choisir le nombre : Ce que j’avais pris pour des antennes, c’était/ c’étaient en fait des poils rétractables… Sachez en tout cas que le présentatif c’est au singulier devant un attribut pluriel n’est jamais fautif, quoiqu’on en dise.- 230 vues
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Le sens justifie le futur car il n’y a rien d’hypothétique dans cette formulation (Nous créerons votre page et pour cela nous aurons besoin…). Mais le conditionnel peut servir à atténuer une exigence. C’est alors un emploi purement formel de politesse (Nous créerons votre page et pour cela nous aurions besoin…)
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Bonjour,
Par défaut, le pronom indéfini interrogatif qui est considéré comme neutre et singulier. Seule la construction (où l’on ne peut dire de qui s’il est l’attribut ou le sujet) [Qui + verbe être + nom ou pronom pluriel] entraîne le pluriel du verbe : Qui sont les meilleurs candidats ? En effet, dans ce cas, on sait pertinemment d’emblée que qui représente plusieurs personnes.
Il ne serait donc ni illogique ni inaudible de faire de même avec votre exemple : *Qui, des Français ou des Allemands, l’ont détruite ? Cependant, l’usage n’est pas celui là et lorsque le pluriel est évident mais que le verbe n’est pas être, on remplace alors généralement le pronom qui par lesquels : Lesquels paraissent les meilleurs candidats ? Lesquels, des Français ou des Allemands, l’ont détruite ?- 284 vues
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