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Bonjour.
La solution est trouvée et elle est bonne, la discussion est close, mon intention n’est pas de la relancer ou d’exprimer une réserve, mais juste de faire une remarque d’ordre général qui n’a rien à voir avec la question de Marino en particulier.
En toute logique, quand un verbe doit exprimer une certitude, cette certitude de l’indicatif, il ne faut pas le faire précéder d’une expression ou d’une locution qui exige impérativement un subjonctif. Pour ne pas créer un conflit dans la phrase.
Il est possible de dire et d’écrire.
– tu es fort, mais tu ne me fais pas peur.
-tu peux être aussi fort que tu veux, tu ne me feras pas peur.
Mais allez discipliner les usagers !
C’est l’usage qui commande et les usagers en font à leur tête. Les pauvres grammairiens n’ont qu’à suivre, et se débrouiller pour expliquer l’inexplicable et conciliier l’inconciliable.
J’ai pensé qu’il n’était pas inintéressant de terminer par cette conclusion.
Cordialement- 5717 vues
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Merci ChristianF, merci Joelle.
Joelle, je ne pense pas que survivant puisse être participe présent dans cette phrase. Je crois que le participe présent exprime une action, il est généralement suivi d’un complement. Dans notre exemple, il me semble marquer un état.
Merci à vous deux.- 1666 vues
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Boujour, Minouche.
Pour moi, elle est tout à fait correcte.
« les » est bien COD, mais ici, le verbe faire n’est pas conjugué à un temps composé.
Le verbe faire est conjugué à la 3° personne du singulier du présent de l’indicatif: Il fait.
La question se poserait si la phrase était: C’est lui qui les a faits.Cette réponse a été acceptée par Minouche. le 20 août 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Merci, Jean Bordes, oui, on comprend pourquoi tantôt c’est le présent, tantôt l’imparfait.
Notons en passant que Hugo est né est un passé composé.
Cela dit,
Je crois qu’en début de récit, il est courant de lire
Un certain 28 février de l’an 1802, naissait Victor Hugo……….
ou
En 1802, naquit Victor Hugo…….. ( mais là, je ne suis pas tout à fait certain).- 1696 vues
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Bonjour.
Que signifie » pour l’orthographe seulement » ?
Merci- 1457 vues
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Bonjour.
Si le conseil doit être valable pour le passé et pour le futur, aucune des deux formulations ne me parait bonne.
» Nous vous invitons » ne convient pas, » aurait trouvé » non plus.Je suggère.
Dans les cas comme celui que vous évoquez, nos clients ne doivent pas hésiter ( ou bien « il ne faut pas hésiter ) à s’adresser à ( ou à se rapprocher de ) la réception, qui se fait toujours un plaisir de trouver rapidement une solution aux préoccupatons de nos clients. ( ou bien » de prendre en charge les préoccupations de nos clients)
C’est valable pour le passé et pour le futur.
S’il ne s’agit pas de répondre à un client en particulier, mais de faire une note générale, je suggère:
Au cas où notre service ne répondrait pas pleinement à leurs attentes ( ou bien » En cas de besoin »), nos clients ne doivent pas hésiter à s’adresser à ( ou à se rapprocher de ) la réception, qui se fera un plaisir de leur donner pleine satisfaction »). Vous pouvez ajouter » dans toute la mesure du possible. »- 1907 vues
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Bonjour.
Je voudrais dire que si chose doit s’écrire au singulier, ce n’est pas sans raison.
Le mot chose dans cette locution n’est pas censé désigner une ou des choses, ni au sens matériel ni au sens immatériel.
De quelle(s) chose (s) pourrait-il donc être question ?
Il n’ y a donc aucune raison de mettre au pluriel, ni même de s’interroger sur le nombre.
Au fond, réflexion faite, j’oserais même dire que chose, dans cette locution, n’est ni singulier ni pluriel,
Cordialement- 6291 vues
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Bonjour.
Merci pour vos réponses.
Vous m’avez convaincu, il faut effectivement mettre » me direz-vous » au futur simple.
Il n’en reste pas moins que l’idée d’hypothèse y est dans ce futur du verbe dire.
Il y a une nette différence entre demain j’irai travailler, demain on sera lundi, tout à l’heure il ne sera plus 8 heures, d’une part, qui expriment bien la certitude du locuteur et, d’autre part, vous me direz ou me direz-vous.
Dans ce « vous me direz que » ou « me direz-vous », dans l’exemple de notre phrase, il n’y a aucune certitude, il y a un « peut-être » sous entendu… qui se fait entendre très fort.
Le sens est clair, à mon avis: » Mais pourquoi viendrait-il, me direz-vous (peut-être), du moment qu’il n’a rien à faire ici »
Et c’est peut-être pour cela qu’un conditionnel n’est pas nécessaire.
Mais je peux me tromper,- 15913 vues
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Bonjour,
La bonne réponse est » … aussi grand que tu es »
Le subjonctif exprime un doute, une incertitude, un souhait…
Nous ne sommes pas dans ce cas-là.
Marino a bien constaté que son petit-fils était grand, c’est une réalité objective, certaine.
Seul le présent de l’indicatif est correct dans ce cas précis.- 5717 vues
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Bonjour David, merci d’avoir ajouté ces précisions.
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