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C’est à croire qu’on cherche à brouiller et à embrouiller , voire assommer ou faire fuir ceux qui posent les questions, qu’à répondre aux questions posées de manière simple et efficace.
Ce grand étalage prétentieux de savoir grammatical et toutes ces analyses supposées fines sont anti-pédagogiques, inutiles dans la plupart des cas, et ce bavardage, quand il n’ajoute pas quelque chose de nécessaire, devient lourd, pesant à la fin. La plupart de ceux qui posent une question veulent une réponse à une question particulière, aussi simple et concise que possible, et non à devenir grammairiens.
Une réponse doit cibler la question posée, et non déborder de tous côtés, et doit être adaptée à celui qui pose la question ; elle ne doit pas servir de prétexte pour écrire un manuel de grammaire, pour tout déballer.
Cela ne sert à rien d’être savant en grammaire, si l’on ne sait pas faire preuve de bon sens.
Deux exemples de phrases simples et clairs ont été donnés pour illustrer l’emploi de « de » et de « pour », et cela suffisait.- 6596 vues
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Bonjour Tony,
Oui, vous avez raison, les deux accords sont possibles. Je ne comprends pas pourquoi ça « cafouille » dans un cas aussi simple.
On n’avait même pas besoin de BDL (ni de Flaubert) pour répondre à la question. Il est courant de lire des phrases comme :
Sa maison, ses biens, sa vie est menacée.
Sa maison, ses biens, sa vie sont menacés.
Et pas seulement en langue française !
Cependant, vous écrivez que vous préférez le pluriel parce que « intérets » et « existence » ne sont pas synonymes. Or c’est le contraire que dit BDL (que je cite dans mon texte ci-dessus) : quand les sujets sont synonymes, le singulier s’impose ; quand il y a gradation, les deux façons de faire l’accord sont possibles.
Czardas nous produit une autre copie du même texte de Flaubert avec le pluriel (tout aussi correct que le singulier, faut-il le répéter), déclare qu’il y a faute évidente, sans dire pourquoi il y a faute… et se mure dans le silence. On n’entend pas davantage Rod auteur de la question.- 1473 vues
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Bonjour Virginiek.
Pour faire la distinction entre « de » et « pour », je préfère changer de phrase.
L’infidélité est, n’est pas, un motif de divorce.
Vous vous êtes disputés, ce n’est pas (un présent suffit) un motif pour divorcer.- 6596 vues
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Tout à fait correct, à mon avis, même si la phrase me semble un peu laborieuse.
Cette réponse a été acceptée par youness. le 30 septembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour, Grmber
Sortira, à priori, si c’est dans le futur.
Est sorti, a été édité, si c’est dans le passé.
Mais tout dépend du contexte.
Le présent sort et le futur sortira peuvent être employés, même si l’édition a eu lieu il y a un siècle ; il est possible en effet de narrer, de relater ce qui s’était passé il y a longtemps en utilisant le présent de l’indicatif ou le futur simple.Cette réponse a été acceptée par gmmbrr. le 30 septembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Merci, Joelle.
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Bonjour,
Oui, on peut commencer une phrase par un adjectif possessif.
Formellement, c’est possible.
Ma voiture est en panne.
Sa maison est très belle.
Ses chiens vont dans la montagne.
Il est entendu qu’une telle phrase s’inscrit dans un discours, implicite ou explicite, qui lui donne pleinement son sens :
Ma voiture est en panne. (Je ne peux pas partir, dit implicitement ou explicitement).- 2179 vues
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Bonjour, Rod.
Lorsque le sujet d’un verbe est composé de plusieurs noms juxtaposés ou coordonnés, le verbe s’accorde avec l’ensemble des sujets.
X, Y et Z ont été attaquéS.
Mais voici ce qu’ajoute BDL.
Lorsque les sujets exprimés désignent une seule et même réalité de plus d’une façon, le verbe s’accorde avec un seul de ces sujets.Exemples :
– Un homme, un père, un professionnel de votre trempe peut relever ce défi.
Lorsque des noms qui ne sont pas synonymes font partie d’une gradation faisant office de sujet du verbe, ce dernier peut s’accorder avec le dernier nom de la gradation, comme si celui-ci rassemblait tous ceux qui précèdent.
La phrase que vous citez relève de ce dernier cas de figure, l’accord a été faitt avec un seul sujet, le plus proche du verbe.
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Bonjour Reine25.
Larousse répond à votre question en donnant les exemples suivants.
Moins de deux, accord du verbe. Avec moins de deux, le verbe se met au pluriel : moins de deux années ont passé.
Avec plus d’un, le verbe est au singulier : plus d’un voudra être présent ce jour-là.
Dans les deux cas, c’est le nom commandé par le numéral qui régit l’accord.- 2193 vues
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Bonjour,
Quand on dit d’une personne qu’elle est force de poposition et de bon conseil, ce n’est pas pour constater qu’elle fait des propositions et donne de bons conseils. Cela signifie que c’est une personne qui se distingue par ses dons ou ses facultés à faire des propositions intéressantes et à avoir des idées pertinentes. C’est une personne douée d’imagination et de perspicacité.
Il n’y a donc pas lieu à mon avis de quantifier conseil et proposition. Tout devrait s’écrire au singulier, bien qu’on entende proposition protester et réclamer un S.
J’opte pour : M. XXX est force de proposition et de bon conseil auprès de sa hiérarchie.- 46897 vues
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