Non car il n’y en a pas plus d’une.
Mais on aurait pu formuler ainsi : sans les notions nécessaires aux sujets qu’elle aborde.

En tant que cheminot, je souscris : il n’y a qu’une voie par correspondance.
Hélas, s’il y a plusieurs numéros, c’est qu’il y a plusieurs voies!
En revanche les voies dont on parle sont uniquement celles des correspondances, donc on devrait plutôt dire: les numéros des voies de (ou pour les ou des) correspondances.
Cette formulation ne précisera pas que chaque voie à un numéro et chaque correspondances une voie.
Mais l’auteur ne me semble pas préoccupé par ce point donc, inutile d’alourdir la tournure…

La barbe n’est pas faite…

Ou, selon les mots du maître:
L’un ou l’autre se dit où se disent !

Il y a donc contradiction avec le conditionnel, car après que n’indique aucun doute.
Pas d’S!

À mon avis, l’emploi du on pour le nous implique nécessairement ce genre d’écart à la règle sur le nous final. Cela me parait quand même du bon français, inconvenant dans un rapport mais seyant au récit littéraire.
Par ailleurs, transformer le s’éloigner en nous éloigner me paraît loin d’être obligatoire, parce que le verbe est à l’infinitif.

Cela dépend si c’est l’ensemble qui est utilisable ou les compétences qui sont utilisables!
À mon avis, ce sont les compétences, d’autant que sinon, il serait légitime de dire « un ensemble directement utilisable de compétences » ce qui n’est pas très beau.
N’est-ce pas ?

Perrette s’imagine qu’elle deviendra riche grâce au pot au lait, mais elle se berce d’illusions.
En revanche, le stratagème qu’elle imagine n’est pas en lui-même bon ou mauvais : il pourra fonctionner si Perrette fais davantage attention.
Voilà à mon avis la différence entre les deux !

Diriez-vous il entra ou il entrait, s’il s’agissait d’un autre ?
Dans ce cas, il s’agit d’une action précise et instantanée: le passé simple me semble tout indiqué.

D’un hiver rigoureux, ils présagent un été caniculaire, et que les ventes de lunettes de soleil vont s’accroître largement…