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Oui, merci, mais je ne peux pas changer la phrase d’emblée, le texte ne m’appartient pas, mais je vais proposer à l’auteur de tourner cela autrement, car accepter l’ellipse me gêne beaucoup…
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Bonjour,
Pour vérifier, vous pouvez utiliser, par exemple, le pronom sujet « je » qui vous fournira deux formes verbales orthographiquement éloignées l’une de l’autre. Cela me semble plus évident en cas de doute. Néanmoins, sachez que la formule négative « il n’est pas sûr que » entraîne ici le mode subjonctif.Il n’était pas sûr que j’eus des preuves, mais…
Il n’était pas sûr que j’eusse des preuves, mais…- 2813 vues
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Bonjour,
Qu’en est-il de album photo(s) et, surtout, de albums photo(s) ?
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Bonjour,
TOUT DÉPEND DU CONTEXTE
Oui, Ciril, vous pourriez mettre « vus », mais uniquement, comme cela vous a été dit plus haut, si lesdits instituts faisaient l’action d’offrir à d’autres organismes, ce qui, a priori, n’est pas le cas évoqué ici…
Dans l’hypothèse peu probable où ce sont les instituts qui « offrent », il faut un complément d’objet indirect après le mot « crédits » ou après le verbe « attribuer » :
• Les instituts (bancaires par exemple) se sont vus offrir/attribuer 500 000 € de crédits aux jeunes entreprises.
• Les instituts (bancaires par exemple) se sont vus offrir/attribuer aux jeunes entreprises 500 000 € de crédits.
L’organisme qui recevra l’argent peut aussi être mentionné dans le texte qui précède et le lecteur comprendre en toute logique qui fait quoi.
• L’État a décidé d’accorder des subventions aux jeunes entreprises de la région par le biais des instituts bancaires. Dans ce cadre, les instituts (ceux que l’on a mentionnés) se sont vus attribuer 500 000 € de crédits (sous-entendu auxdites entreprises).Néanmoins, en général, ce sont les crédits qui sont attribués aux instituts et non l’inverse.
Donc, dans le cas où ce sont les instituts qui reçoivent l’argent qui leur est versé, par exemple, par l’État, par une collectivité locale ou par des mécènes, il faudra écrire : « ils se sont vu offrir » ou, mieux, « se sont vu attribuer », « se sont vu accorder ».
• Les instituts se sont vu offrir/attribuer 500 000 € de crédits (sous-entendu par une autre entité, ce ne sont pas les instituts qui font l’action d’attribuer).Par ailleurs, le verbe « déléguer » me semble d’un usage inapproprié en matière de sommes d’argent, « offrir » est tout juste acceptable, « attribuer »/« accorder » me paraissent d’un usage plus courant dans ce cas précis.
Le lecteur devrait vous comprendre automatiquement, tant le sujet de l’action est implicite. Normalement, si le texte qui précède la phrase en question est clair, il n’y a pas de doute à avoir en ce qui concerne le sens. C’est le contexte général qui, même s’il doute de l’accord verbal, guidera le lecteur et lui fera comprendre d’emblée ce que vous avez écrit.
S’il s’agit non pas d’un texte mais d’un simple titre d’article, la précision du complément d’objet indirect me semble indispensable.L’essentiel, c’est que vous ne fassiez pas de faute.
Si le lecteur a un doute d’ordre purement grammatical, c’est à lui de mettre son nez dans un ouvrage de grammaire. Vous écrivez « comme il se doit » et n’avez pas à vous préoccuper de savoir si votre lecteur a des lacunes en matière d’orthographe… ;-))
Je dis cela entre parenthèses parce que, dans le contexte de « dysorthographie » ambiante que nous connaissons depuis quelques décennies, les auteurs de romans ou de tout autre genre d’ouvrage craignent souvent de ne pas être compris et préfèrent niveler (ou que leur correcteur/correctrice nivelle) le texte par le bas… C’est bien dommage pour la pérennité de la richesse de notre langue !
Quant aux instituts, je ne vois pas pourquoi vous devriez mettre un « i » majuscule, il ne s’agit pas d’un nom propre.
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Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une tournure très « à la mode », employée parfois à tort et à travers, et qui tend, à terme, à nous rester en travers de la gorge… notamment quand elle revient plusieurs fois dans un même texte.
On pourra lui préférer « au moyen de », « par le biais de », « par », « grâce à », selon le sens désiré.
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Effectivement, le Ramat de la typographie est également une très bonne référence.
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On ne met pas de majuscules aux noms des classes ni aux noms des matières. Il ne s’agit pas de noms propres, pourquoi devrait-on en mettre ? En matière de majuscules, il faut savoir raison garder et en limiter l’usage ; restons sobres, nous gagnerons en clarté !
Les Anglo-Saxons ont la fâcheuse habitude de mettre des majuscules partout, sans doute pour se simplifier la vie, et les Français celle de les imiter…
Or nous avons un code typographique plutôt strict en la matière (quoique un peu flou à ses heures…).
Saisissez « Code typographique » dans votre moteur de recherche, une foule de références se présenteront à vous.
Vous pouvez vous référer, par exemple, au Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, mais ce n’est pas la seule source consultable en la matière.- 28694 vues
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Bonjour,
Pour ma part, c’est la ville de/d’ Hanoï qui me pose problème… de Hanoï, d’Hanoï ? Il me reste donc à savoir si le « H » est aspiré ou non.
Je vais tout de même regarder dans un dictionnaire de noms propres, mais je doute que cette précision y soit indiquée.
Je pencherais néanmoins pour la première version, mais sans grande conviction. cCest juste un premier choix fait « à l’oreille » à vrai dire…- 10478 vues
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Peut-être « en tout état de cause » pourrait-il convenir ? Mais j’arrive bien tard… Néanmoins, cela pourra servir à quelqu’un d’autre.
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Bonjour,
J’avais pensé à la proposition infinitive, à laquelle j’ai déjà eu recours plusieurs fois dans cet ouvrage, mais je réalise grâce à vous que c’était effectivement la seconde partie de la phrase qui me posait alors problème.
Merci pour ce « il esquissa un sourire » qui ne me venait pas à cause du sourire qui était le sujet initial de la deuxième proposition que je ne tenais pas spécialement à changer, l’ouvrage n’étant pas ma propriété.
Cependant, n’étant plus à un changement près, je vais proposer à l’auteur le remplacement total de la phrase en omettant le « sur ses lèvres », ainsi que vous le suggérez, et lui dire, encore une fois, que c’est :
1) pour éviter le subjonctif imparfait (que, visiblement, elle ne connaît pas plus que la majorité des auteurs néophytes)… [Ce serait là l’objet d’un vaste débat qui, hélas, sortirait du cadre de cette partie du site.]
2) pour rendre la phrase plus légère.Il est difficile, voire impossible de mettre résolument des imparfaits du subjonctif dans la partie narrative d’un roman où, par ailleurs, tous les dialogues sont carrément et volontairement rédigés en langage non soutenu, voire familier.
Un grand merci pour votre aide !
Bonne journée !
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