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Certains ouvrages, dont le « Jouette » et le « Robert » indiquent, au singulier : « une prise de vue » pour le domaine de la photo et « une prise de vues » pour ce qui concerne le cinéma… Ils omettent néanmoins de dire ce qu’il en est au pluriel, hélas.
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Vous devez tenir compte de ce qui précède ou qui suit « au mendiant »/ »aux mendiants ».
Dans vos propres écrits, vous tiendrez compte de l’image qui vous vient automatiquement à l’esprit.
Je donne deux euros au mendiant assis devant la boulangerie. (avec un peu de chance, il n’y en a probablement qu’un)
Chaque jour, il donne quelque chose aux mendiants de son quartier. (il y en a probablement plusieurs)En ce qui concerne « … , donner tout ce qu’on a dans ses poches au mendiant qu’on rencontre, … »
Si vous êtes chargée de saisir un texte enregistré par autrui, le doute ne peut que subsister, forcément, puisque les deux cas sont possibles. Vous pouvez et même devez demander confirmation à l’auteur. Cela ne devrait pas le déranger de vous répondre et prouvera votre sérieux. :- 9603 vues
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Pour faire court :
Si nous = des hommes ==> décidés
Si nous = des femmes ==> décidées
Si nous = des hommes et des femmes ==> décidés
Si nous = je (cas où l’auteur d’un texte parle de lui-même en disant « nous ») ==> décidé si c’est un homme, décidée si c’est une femme.
Cette réponse a été acceptée par pivot86. le 24 juillet 2019 Vous avez gagné 15 points.
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Le problème, c’est qu’à deux, ça va être dur. En théorie…
Le problème(,) c’est que, à deux, ça va être dur. Possible aussi
Le problème c’est qu’à deux, ça va être dur. Admissible.
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Il faut chercher qui fait l’action d’obliger. Ici, ce n’est pas le sujet lui-même qui oblige ; il n’oblige personne (comme ce serait le cas dans la phrase : il s’est vu obliger les élèves à refaire l’exercice. Notez que dans ce cas, on aurait pu mentalement remplacer le verbe « obliger » par « contraindre » à l’infinitif. De plus, dans ce cas, on utilise la préposition « à »)
Pour obtenir confirmation, il existe un « truc », à savoir remplacer mentalement le verbe du premier groupe par un verbe d’un autre groupe.
Ici, l’astuce consiste à employer « contraindre » qui, de plus, a le même sens que le verbe « obliger ». Cela nous permettra aisément de remarquer que nous avons affaire à un participe passé et non à un infinitif. (On remarquera que, dans ce cas, la préposition qui suit est « de »)
son fils s’est vu (contraint ==>) obligé de remettre le bien en état.
sa fille s’est vue (contrainte ==>) obligée de remettre le bien en état.- 5346 vues
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Ne pas le couper si possible.
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Hélas, la mode étant à l’auto-édition, les correcteurs doivent beaucoup réécrire de nos jours…
Notons que l’on peut également employer le verbe « reformuler » qui me semble un peu plus élégant.
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Merci pour ces précisions.
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Oui mais il s’agit ici de la notion de « rêve éveillé » groupe nominal qui constitue un tout en soi quand il ressortit de la psychanalyse. Les psychanalystes ne se gênent pas pour écrire même, d’après ce que je viens de voir, « rêves éveillés », en accordant alors étrangement « éveillé » avec « rêves » quand une seule personne fait, selon eux, des « rêves éveillés » Oups ! Ce doit être tout à fait normal pour eux et ils ne se sont sans doute même pas posé la question, mais cela fait sourciller ceux qui, tout bien considéré, se soucient du respect de la grammaire. Or, pour nous qui nous penchons sur la grammaire et sur elle seule, c’est le rêveur/la rêveuse qui est éveillé/éveillée, non les rêves ou les cauchemars…
Aussi devrait-on logiquement écrire, si on s’en tient à la grammaire, qu’un homme a fait un rêve éveillé (sous-entendu : alors qu’il était éveillé), de même qu’une femme a fait un rêve éveillée (alors qu’elle était éveillée), idem pour un homme a fait des rêves éveillé (il n’y a, grammaticalement parlant, qu’un seul homme qui est éveillé), une femme a fait des rêves éveillée (c’est la femme qui est éveillée, même si elle a fait plusieurs rêves qui, eux, ne sont pas qualifiés) et, au demeurant, des femmes ont fait un rêve (tout) éveillées, etc.
Rien à redire, bien sûr, au sujet d’une intelligence éveillée, d’un regard éveillé, des visages éveillés, des enfants éveillés, des petites filles éveillées… car cela va de soi pour tout le monde sans doute, mais le terme « éveillé » a dans ce cas une tout autre acception que celle du texte que je cite. Dans « mon » texte, c’est la notion de « rêve éveillé » ou de « cauchemar éveillé » –en tant que groupe nominal indissociable – qui pose problème, entendu que le « cauchemardeur » en question est une femme.
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