Bonsoir Isaelle,
À mon sens, c’est lié aux verbes utilisés : certains sont « sensibles » à la question « combien » (verbes  de durée et de mesure : durer, dormir, courir,  peser, coûter, vivre, etc.) et dans ce cas précis, leur participe passé est invariable (mais s’accorde si le complément ne répond pas à la question « combien » mais « quoi »), et d’autres (comme dans « mon » exemple) n’ont pas cette « sensibilité » et s’accordent avec le COD placé devant.
Voilà mon explication, à valider par les experts, évidemment.
Bonne soirée
Armelle

Merci Joëlle.

Merci Joëlle.

Ainsi, si je reprends vos développements à tous les deux, écrire la deuxième classe dans le TGV ou le second trimestre (même si ça « sonne » bizarrement) n’est plus fautif ?

Merci Prince pour vos précisions historiques et contemporaines.

Merci beaucoup pour ces précisions Monsieur Bordes.

Merci Joëlle !

Bonsoir kate220,
j’imagine que, depuis votre message du 4 novembre 2019, vous avez  réceptionné les résultats du Certificat Voltaire.
Serait-ce indiscret de vous demander quel score vous avez eu ?  Je m’interroge en effet sur le lien entre réponses erronées (ou que l’on s’imagine comme telles) et le résultat final.
Merci
Armelle

Merci Joëlle pour vos réponses.
Le zéro faute est rare…donc pas inatteignable 😉
Cela étant, mes erreurs viennent de quelques fautes d’inattention, de règles non acquises, mais également de certaines subtilités telles que le avec n’exprimant pas l’ajout…
Bon, la perfection risque d’être compliquée à atteindre !

C’est en travaillant justement sur les fractions que je suis tombée sur le lien que vous m’invitez à suivre ; si ce n’est plus au programme (du moins pour la partie « prise de tête »), tant mieux !

Je me permets de vous reposer la question concernant l’éventuelle différence entre tiret et trait d’union, si elle est avérée ou s’il faut faire le distinguo entre ces termes, et lequel.

Bonne soirée et à bientôt!
Armelle