Oui peut-être, merci!   c’est pas encore ça. Comme disait René Char: ne t’attarde pas à l’ornière des résultats…Mais vous m’avez aidé à avancer. Merci. Peut-on mettre autre chose que l’imparfait avec le conditionnel? C’est l’imparfait qui pose problème je crois. Avec le conditionnel, ça fait grésiller les oreilles…Merci en tout cas.

c’est en tête de chapitre, un peu comme le faisait Cervantès avec Don Quichotte, ou Scarron avec le roman comique ou tous les récits picaresques.

C’est l’histoire d’un personnage curieux qui au chapitre dernier rencontre la mort personnifiée qui s’avère être, comme toute mort, bête.

J’hésite entre les deux mais les deux me vont avec humour, J’aurais juste aimé avoir votre avis aiguisé et frotté aux belles-lettres. Désolé si cela n’a rien à voir avec le site.

Merci pour la leçon grand maître mais j’ai oublié de préciser qu’il s’agissait contexte humoristique.  Je voulais combiner le hoquet, la ânonnement et le braiement….pour un personnage qui parle sous les traits de l’animal âne,  j’ai comme l’impression qu’il y a beaucoup de Sorbonnards, relisez Rabelais…

merci j’ai transposé ça au présent en effet, plus clair même si le verbe « mérite » sans trop le ressentiment…personne ne mérite qu’on l’y jette…merci pour vos lumières au mieux des ténèbres 🙂

merci pour avoir noté la note humoristique de l’excellence littéraire… Merci à Rabelais, le maître des maîtres aurait dit Primo Levi. Merci Joelle pour l’explication.

merci.  autant opter pour des escarpins dans ce cas.

bien vu. Vous ne vous êtes pas trompé. Merci pour ces lumières que vous partagez.

l’intelligence intuitive des usagers de la langue: on toruve une cause par un présentatif démonstratif…tant qu’on écrit pas c ça ksé bon!

pas bête!

si on écrit: « il se l’était dictée lui-même en silence »: cela équivaudrait à « il  l’avait dictée lui-même à lui-même en silence » ?

Est-ce selon vous correct?