Y a t il des fautes dans la phrase suivante: je n’ai jamais pu m’ouvrirez à elle, par rapport à tout ça,même si j’aurais tant aimé
Je n’ai jamais pu m’ouvrir à elle, par rapport à tout ça,même si j’aurais tant aimé. La phrase est correcte, il faut juste mettre le verbe ouvrir à l’infinitif.
Pour la proposition d’Edwin
« Par rapport à tout ça » est beaucoup plus correct que « de tout ça ».
Pour ma part, j’ai l’impression que le de tout ça ne fonctionne pas dans cette phrase.
Bonjour et merci
Je me suis rendu compte de ça
Edwin
Bien que est très généralement suivi d’un subjonctif
(Il rigola) Bien qu’après tout, Blanchette est libre… Aragon, Aurélien
Cet emploi reste rare, et il paraît plus simple d’utiliser systématiquement le subjonctif. La culture générale
Votre question est intéressante :
la voici : peut-on écrire (et dire) : bien qu’il pleuvait très fort, il sortit – bien que nous étions tous malades nous sortîmes – ?
Si on emploie le subjonctif, il faut employer ici le subjonctif imparfait pour respecter la concordance des temps :
Bien qu’il plût très fort, il sortit – bien que nous fussions tous malades nous sortîmes
Comme ce temps tombe en désuétude, on le remplace souvent par le subjonctif présent :
Bien qu’il pleuve très fort, il sortit – bien que nous soyons tous malades nous sortîmes
Comme vous le voyez, si, pour la phrase 1, le subjonctif présent est acceptable, pour la phrase 2 il change le sens et on peut comprendre que les personnes désignées par « nous » sont encore malades au moment de l’énoncé.
Si bien qu’en effet, l’émetteur du message, qui veut être compris, utilisera certainement l’imparfait de l’indicatif :
bien que nous étions tous malades nous sortîmes
Bonjour
J’écrirais votre phrase comme ci-dessous
Je n’ai jamais pu m’ouvrir (1) à elle de tout ça (2), même si je l’aimais tellement (3)
(1) il faut mettre un autre verbe à l’nfinitif après le verbe « pouvoir ».
(2) je préfére traduire votre « par rapport à tout ça » par « de tout ça ».
(3) parce que le verbe principal est au passé composé, je met « aimer » à l’imparfait pour marquer un fait qui durait dans le passé.
Edwin
Je vous propose Joduf :
Je n’ai jamais pu m’ouvrir à elle à ce sujet, bien que je l’aimais tant.
Je n’ai jamais pu m’ouvrir à elle à ce sujet, et pourtant je l’aimais tant.
Je n’ai jamais pu lui confier tout cela et pourtant je l’aimais tant.
Permettez-moi un conseil : commencez par écrire des phrases simples et courtes (sujet verbe complément) exemple : je n’ai jamais pu me confier à elle. Je l’aimais tellement, pourtant.
Bonjour Maman
Je voudrais vous demander une petite question svp.
« Bien que » peut être suivi d’un imp?
Merci beaucoup
Edwin
Bonjour Maman…
Dans votre cas…j’évite toujours « bien que » pour ne pas tomber dans cette difficulté.
J’emploirais « même si », « alors que » etc.
Alors que/même si/tandis que nous étions tous malades nous sommes sortis
Là, j’enfreins aucune règle.
Edwin