Est-ce que le nom de l’association apparaît ailleurs dans la plateforme ? Y aurait-il un texte où le nom de l’association serait mentionné ?

Théoriquement, on doit suivre les règles typographiques et grammaticales. Cependant, on suivra avantageusement la graphie choisie par l´association.
Ce n’est pas une association, mais l’exemple suivant peut éclairer :
Règle typographique : Crédit agricole.
Écriture courante : CRÉDIT AGRICOLE (qu’on voit affichée sur les agences).

Dans un mémoire étudiant, donc, privilégier la graphie choisie par l’organisme ? A savoir, ici, les capitales ?

Réponse à Zully :

Je l’ai vu écrit de différentes manières selon les sources. Sur le site de l’association elle-même, le nom apparaît plusieurs fois, oui, chaque fois sous la même forme, laquelle ne satisfait pas les exigences typographiques : il est écrit « Agir pour l’Environnement » alors que l’on devrait écrire  » Agir pour l’environnement. » J’ai déjà rencontré très souvent ce dilemme…

Je vous remercie Thilda de votre réponse. Parfois, le nom du site (je suppose que c’est lorsqu’il est accolé à www), est écrit d’une drôle de façon. C’est pour cela que je voulais savoir comment le nom de l’association en question était orthographié dans un texte. Mais, étant donné la situation (je suis moi-même confrontée à de telles interrogations), je peux vous dire que je fais comme Jean Bordès le mentionne. Je suis les règles orthographiques et grammaticales.

Les gens croient qu’en mettant des majuscules par-ci, par-là, ils donnent plus de poids aux mots alors que chacun a sa définition, son sens, sa place, etc.  Si vous faites une recherche avec des mots clefs sur cette plateforme, vous verrez qu’une ou deux foix des sujets similaires ont été traités. Si vous ne trouviez pas, je pourrais vous aider.

Merci de votre réponse. Jean Bordès conseillait au contraire de suivre la graphie choisie par la structure, même si, en théorie, il faudrait respecter la règle typographique.

Comme je l’ai l’ai déjà dit à plusieurs reprises, la typographie n’est pas un dispositif uniforme à la différence de l’orthographe. Les organes normatifs ne sont pas les mêmes.
C’est le rédacteur (compositeur en typographie) qui prend la responsabilité des principes qu’il applique et il le fait de manière raisonnée et constante. Cela s’appelle un code typo et est propre à un éditeur, à une agence de communication, à un journal, etc. On n’y mentionne que les points qui font l’objet de divergences connues et on les assume. Il est rare d’en disposer (c’est un document interne) mais vous pouvez consulter ICI  la « marche » (c’est le nom de métier) du Monde Diplomatique, l’une des rares accessibles.
Des thèmes d’actualité, comme l’écriture inclusive ou les rectifications de 1990, peuvent s’y trouver abordés.

Je vous remercie de ces informations. Les rectifications de 1990 m’intéressent également, je ne manquerai pas de les consulter.
Je sais que les agences de presse et les maisons d’édition appliquent leurs propres codes typographiques, mais je me demandais quel principe s’appliquait en général dans le cas d’un mémoire étudiant. Chaque université (en France) a-t-elle sa propre marche également ?

Je le possède déjà. Je vous remercie !