Oui Estudiantin, toutes les subordonnées sont complétives sauf la dernière :
« que l’on aille en ville »
« que PhL est un chic type » (merci !)
« qu’il m’écoute »
« qu’il passe plus tard »

Elles ne peuvent pas être retirées de la phrase et jouent un rôle essentiel, ici de COD.

Dans la dernière phrase, âneries est COD du verbe mais il ne s’agit pas d’une subordonnées puisqu’il n’y a pas de verbe.
Il dit qu’il partira demain : « qu’il partira demain » = subordonnée complétive
Il ne dit que des âneries = il dit des âneries. « âneries » = COD.

Bonjour,

La proposition subordonnée complétive est une proposition qui dépend d’une proposition principale et qui a, le plus souvent, le rôle de complément d’objet direct.
La proposition subordonnée complétive conjonctive  est introduite par la conjonction de subordination que ou ce que.
Exemples :

– J’aimerais que tu viennes me voir demain
– Je ne m’attendais pas à ce qu’il  me réponde de cette manière.

Ainsi dans les phrases que vous proposez( sauf la dernière)  le morphème «que» est une conjonction qui introduit des propositions conjonctives complétives pures,

La dernière phrase doit être écrite ainsi :

Il ne dit que des  âneries.

Dans ce cas que est adverbial, en corrélation avec ne le tour (ne …que) est exceptif ou restrictif et signifie seulement.

Je n‘aime que les fraises signifie j’aime seulement les fraises.

Il ne dit que des âneries
Il dit seulement des âneries.