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Bonjour,
Merci pour votre réponse
Plutôt une personnification : à propos du bien qui se faufile…
Quant aux fissures du mal…je ne vois pas
Pas d’allégorie ni de métaphore.
Merci beaucoup pour votre retour,
Néanmoins, si l’on considère que l’allégorie est l’incarnation d’un concept dans quelque chose de humanisé-personnifié, pourquoi ne pourrait-on pas y voir une allégorie ?
Merci encore 🙂
il n’y a pas de personne humaine dans votre phrase.
Allégorie du bien ? assimilé à une personne, pourquoi pas ?
– Les fissures du mal : ceci est une métaphore. LE mal n’a pas de fissures. Ce qui a des fissures, c’est un mur, une paroi, un bloc….Le bien qui s’y faufile peut évoquer un lézard ou tout autre chose : la métaphore est discrète.
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– Pour qu’il y ait allégorie il faudrait que le bien et le mal soit représentés sous des images concrètes. Exemple : la colombe est l’allégorie de la paix. Ce n’est pas le cas ici.
Extrait d’un article de la BD : L’allégorie prend habituellement la forme d’une narration ou d’une description dans laquelle chaque élément de l’abstraction est représenté métaphoriquement. Le récit allégorique, qui se développe souvent tout au long d’un texte ou d’un discours, offre alors deux lectures possibles : le récit lui-même constituant un premier degré, et les réalités abstraites que révèlent les symboles, un second degré. Dans l’exemple qui suit, la faucheuse représente la mort.
- Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ
Elle allait à grands pas, moissonnant et fauchant
Noir squelette, laissant passer le crépuscule. (Victor Hugo)
– pas non plus personnification. Il n’y a pas que des humains qui se faufilent.
Remarque : à moins que l’objet de cette recherche des figures de style soit un exercice, il n’est intéressant d’en parler que si on en fait quelque chose. Dire qu’il y a une figure de style à tel endroit d’un texte, puis passer à autre chose est parfaitement inutile.
joelle
Pourrait-on