Préposition.
Bonjour,
Une des dernières fois, lorsque j’ai
posé une question j’ai fait une faute, et
donc je reviens là dessus. Aujourd’hui j’ai
le temps je vais essayer de réparer ça.
Donc, ma phrase était :
« les tirets sont t-ils à mettre »moi j’ai mis
le pluriel à « mettre » cette faute est récurrente chez moi
Evinrude, Phl, me reprennent souvent là-dessus, et c’est bien
car sans ça je continuerai ( futur simple, là chose est certaine ?).
Donc, ma question est quand-il y a une préposition
telle que « à, de, par, pour, sans, etc..» je dois écrire
« à mettre, sans prendre, de vendre, pour faire,»
même si les mots sont aux pluriel, à la différence de .
« Les marins mettent les voiles» mais « les bonnets
sont-ils à mettre sur le bateau ? »
Merci.
Bonjour,
Un verbe précédé d’une préposition est toujours à l’infinitif.
Ils ont commencé à creuser les fondations.
Elles sont parties sans dire un mot.
Il a pris la décision de démissionner.
Et pour montrer sa belle voix , il ouvre un large bec…
Il raconte des histoires à dormir debout.
Bonjour Estudiantin,
Comme te le dit czardas, le verbe qui suit une préposition est toujours à l’infinitif, donc invariable ! On ne fait varier que les verbes conjugués. Tes deux exemples sont donc justes.
Tu peux t’entraîner ici.
Et retrouver l’infinitif d’un verbe conjugué, grâce à cette petite méthode enfantine.
Quant à ta question dans la question, j’écrirais plutôt : « …sans cela, je continuerais » (au conditionnel), mais ton choix ne me paraît pas vraiment fautif, car on peut dire : « Sans un effort d’attention, il fera toujours la faute. » J’aimerais savoir ce qu’en pensent les autres…
Oui le conditionnel j’y ai pensé mais, comme souvent
sur le site je vois ( le conditionnel la chose est incertaine )
le futur c’est sûr,donc moins c’était plutôt sûr de répéter la
faute, donc j’ai préféré mettre au futur.
Oui Evinrude comment mon choix pourrait-il être
fautif ?
czardas
les tirets sont-t-ils
Cette faute est récurente (du latin recurrere)
sur cela est préférable à là-dessus
quand il y a une préposition tel que (s’accorde avec le nom qui précède)
jean bordes
« je reviens là-dessus »
« les tirets sont-ils à mettre »