Point d’interrogation à la fin d’une phrase
Bonjour, je me pose une question sur l’emploi du point d’interrogation dans une phrase longue de ce genre :
« Ce grand gaillard, au visage ingrat, n’était-ce pas l’idéal, car à l’opposé de toute menace pour mon couple ? »
ou
« N’est-ce pas, Jean, le prof en tenue golf à la terrasse du café de la gare ? »
Est-il bien placé à la fin ?
Merci.
Bonjour LeDonk.
Vos points d’interrogation doivent en effet ponctuer la fin de chacune de vos phrases.
Bonsoir PhL, merci pour votre réponse. Les points d’interrogations sont donc bien placés dans ces 2 exemples ?
Merci.
Oui.
Merci Phl.
Bonne soirée.
LeDonk
Bonjour LeDonk, il faut bien un point d’interrogation à la fin de vos phrases, mais il ne faut surtout pas de virgule dans la seconde entre « n’est-ce pas » et « Jean » : « N’est-ce pas Jean, le prof en tenue de golf […] ? »
Bonjour, ChristianF.
Merci pour votre avis et confirmation ; par contre il faut une virgule avant Jean, car dans le texte la personne s’adresse à ce Jean, la précision « le prof… » étant ironique.
« N’est-ce pas, Jean, le prof en tenue golf à la terrasse du café de la gare ? »
D’où ma question sur le point d’interrogation que je trouve un peu loin…
Merci.
Ah, d’accord ! En l’absence du contexte, j’avais compris que la question était « Le prof en tenue de golf […] n’est-il pas Jean ? ». Mais dans ce cas, cela change tout ! La tournure de demande de confirmation « N’est-ce pas, Jean ? » est une question à part entière, et je pense qu’il est préférable de la ponctuer immédiatement par un point d’interrogation : « N’est-ce pas, Jean ? ». La proposition suivante, qui précise cette demande en apportant un complément à quelque chose dit précédemment, peut être ou non formulée de façon interrogative, selon le cas je la terminerais par un point d’interrogation ou des points de suspension : « N’est-ce pas, Jean ? La personne en tenue de golf à la terrasse du café de la gare ? » ou « N’est-ce pas, Jean ? La personne en tenue de golf à la terrasse du café de la gare… » mais dans tous les cas, le premier point d’interrogation (après Jean) me paraît, sinon nécessaire, du moins bien utile pour éviter l’ambiguïté.
Merci ChristianF, je me disais bien.
Il me semble avoir lu quelques parts que la majuscule après un point d’exclamation ou d’interrogation n’était pas obligatoire. (Larousse, je crois.
Comme cela, vous en pensez quoi ?
« N’est-ce pas, Jean ? le prof en tenue golf à la terrasse du café de la gare… »
Merci.