Bonjour Marisa,

1.  Le ne explétif n’est pas indiqué ici. D’autant qu’ il créerait un contresens.
(Plus d’indications sur l’emploi du ne explétif ici : https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/22467/la-syntaxe/la-negation-et-la-restriction/constructions-avec-un-ne-expletif)

Nul ne peut douter que cet homme marche dans les pas du Christ ( si le sens est recherché est : tout le monde sait qu’il marche dans les pas du Christ)

2.  Je pense qu’il s’agit ici de bienheureux, d’après le contexte et la définition donnée par Larousse :
Personnage dont l’Église, par l’acte solennel de la béatification, a reconnu la sainteté de vie sans l’admettre encore aux honneurs du culte universel.

4.  Pour pouvoir accorder, il faudrait d’abord savoir à qui renvoie ce être, ce qui n’est pas évident ici…
S’il renvoie à tout le monde, n’importe qui (on) = hébergé
S’il renvoie à nous = hébergés

Merci, Milos. Je serais d’accord avec vous pour la question 1.
Pour la question 2., je pencherais plus pour bien heureux, pour la 3. pour bien aimé (en raison  de la présence de du).
Pour la question 4., par rapport au sens de la phrase, hébergé serait en rapport avec les deux cents cavaliers, c’est la raison pour laquelle je me demande s’il faut saisir hébergés (au pluriel).

Bonsoir Marisa,
Votre phrase 4 est une anacoluthe : les deux cent cavaliers ne sont pas le sujet de « être hebergé », que l’on considère le groupe comme une entité ou les deux cent unités.
Il vous faut écrire cela différemment : « Deux cent cavaliers sont réunis et il ne sera pas toujours possible qu’ils soient hébergés dans les locaux disponibles. »