La phrase est correcte du début à la fin.
L’éducation […] aide à identifier et à déjouer les pièges […], à se prémunir des dérives […] et à s’affranchir des carcans idéologiques auxquels les élites du système politico-médiatique tendent à nous soumettre.
——
A.L’éducation […] aide[…] à s’affranchir des carcans […] auxquels les élites du système politico-médiatique tendent à nous soumettre. 
= résultat de la subordination des deux propositions suivantes :
– l’éducation […] aide[…] à s’affranchir des carcans
– les élites du système politico-médiatique tendent à nous soumettre à ces carcans.

Dans la phrase A, on a remplacé le deuxième « carcan » par le pronom relatif « auxquels », évitant ainsi la répétition de ce nom et reliant(subordonnant) la deuxième proposition à la première.

C’est bien Mary.
Je mettrais juste un point à la place du point-virgule : la phrase est longue…

Puisque vous dites « notre alliée » je vous suggère d’écrire « elle nous aide ».  Car « elle aide » signifie « elle contribue« .
« Discours de persuasion et d’influence sociale  » périphrase qui me semble maladroite, je vous suggère « discours de propagande sociale« .
On se prémunit contre quelque chose.
Ma suggestion :
L’éducation est et sera toujours notre alliée la plus précieuse. En effet, elle nous aide à identifier et déjouer les pièges des discours de propagande sociale, à nous prémunir contre des dérives en tout genre, et à nous affranchir des carcans idéologiques auxquels les élites du système politico-médiatique tendent à nous soumettre.