dont, de que
Bonjour,
Dans la traduction du roman de Peter Stamm, Agnès, je lis :
« Croyez-moi, c’était d’argent dont il s’agissait et de rien d’autre… »
La formulation me semble fautive : n’écrirait-on pas :
« Croyez-moi, c’était d’argent qu’il était question et de rien d’autre.. », comme on écrit, « c’est de moi qu’il est question » ou « c’est moi dont il est question ».
Merci de votre confirmation.
Karine
Oui, « dont » contient déjà « de ».
Mon repère : c’est de cela que je parle / c’est cela dont je parle
==> Vous avez raison.
Croyez-moi, c’était d’argent qu’il était question et de rien d’autre..
J’ajoute que l’on peut parfaitement écrire : « Croyez-moi, c’était d’argent qu’il s’agissait et de rien d’autre… »
Oui, on peut écrire ce que l’on veut à condition de ne pas cumuler « de » et « dont »