Dans la phrase : « Un voisin n’est ni un ami, ni un ennemi, c’est un être, une culture, un peuple, une espèce, à la présence (duquel ou de laquelle ou desquels) je dois m’accoutumer. »
Dans la phrase : « Un voisin n’est ni un ami, ni un ennemi, c’est un être, une culture, un peuple, une espèce, à la présence (duquel ou de laquelle ou desquels) je dois m’accoutumer. »
Un voisin n’est ni un ami, ni un ennemi, c’est un être, une culture, un peuple, une espèce, à la présence duquel je dois m’accoutumer.
c’est un être, une culture, un peuple, une espèce :
Les 4 noms renvoient à une même personne
On peut simplifier ainsi :
Un voisin n’est ni un ami, ni un ennemi, c’est un être à la présence duquel je dois m’accoutumer.
Analyse :
1 Un voisin n’est ni un ami, ni un ennemi
2 C’est un être
3 Je dois m’accoutumer à la présence de cet être
Avec la subordination, de la proposition 3 à la 2, on remplace le nom « être » (qui est complément du nom présence) par le pronom relatif de même fonction « duquel ». On pourrait employer « de qui » –> à la présence de qui je dois m’accoutumer. (« Duquel » est meilleur)
Il n’y a pas de bonne réponse à votre question. Vous construisez une phrase de manière qu’on ne connaisse pas à coup sûr l’antécédent du pronom relatif, et vous nous en demandez le genre et le nombre.
Choisissez le nombre selon le sens qui vous plaît, et un genre… au hasard, celui que vous avez en tête au moment d’écrire le pronom :
— Cite la région, le pays, dans lesquels tu aimerais vivre.
— Cite la région, le pays, dans lequel tu aimerais vivre.
— Cite la région, le pays, dans laquelle tu aimerais vivre.
— Cite le pays, la région, dans lequel tu aimerais vivre.
— Cite le pays, la région, dans laquelle tu aimerais vivre.