Cela l’a surpris
Bonjour ! Je suis surprise d’une tournure de phrase lue à l’instant.
Contexte : une femme relate une discussion avec une autre femme et conclut : « peut-être même mon souci d’en savoir davantage l’*avait-il surpris ?
* l’ = l’autre femme avec qui la narratrice discute.
Instinctivement, je mettrais « surprise » plutôt que « surpris », puisque l’ est le cod placé avant l’auxiliaire avoir etc, etc. Un avis éclairé sur la question ?
Il faut accorder surprise avec le Cod : * l’ = l’autre femme avec qui la narratrice discute.
(c’est écrit dans la question)
Ma demande a surpris qui ?
La dame = l’
La demande l’a surprise.
Bien sûr, le pronom « l’ » remplace « la femme » qui est COD.
Désolé, mais la phrase soumise n’est pas claire.
Il semble qu’une femme (la narratrice ; appelons-la Jessica) « relate » à une autre femme » (= « l’autre femme avec qui la narratrice discute » ; appelons-la Cécilia) « une discussion qu’elle a eue « avec une autre femme » ; nommons-la Loana).
Puisque Jessica « conclut », en disant à Cécilia « peut-être même mon souci d’en savoir davantage l’avait-il surpris ? « , comment le pronom élidé l’ peut-il représenter Cécilia ( qui est, je le rappelle, « l’autre femme avec qui la narratrice discute », selon Fritouille) ?!
Deux femmes parlent d’un homme Prince ? Tony a raison.
Il ( l’homme ) dont les femmes discutent !
* l’ = l’autre femme avec qui la narratrice discute.
(c’est écrit dans la question)
Oui, mais c’est écrit par Fritouille, qui se contredit ensuite, en disant : « Dans le passage soumis, Jane Eyre et Mrs. Fairfax parlent de Mr. Rochester, » Or Mr Rochester est un homme !
Merci à tous pour vos réponses (je n’ai malheureusement pas encore le droit de commenter dans les sous-fils, donc je vais essayer d’être claire pour que tout le monde s’y retrouve) !
Alors, on va replacer le contexte très précisément : je lis une traduction un peu ancienne de Jane Eyre. Dans le passage soumis, Jane Eyre et Mrs. Fairfax parlent de Mr. Rochester, mais évidemment, tant qu’il n’est pas là, parce que sinon, ça perd tout intérêt… Et Jane Eyre se demande si son souci d’en savoir davantage sur Mr. Rochester n’a pas surpris Mrs. Fairfax, puisque, à ce moment de l’oeuvre, J.E a dû adresser la parole trois fois à Mr. Rochester et n’ose pas encore lui poser de questions.
J’espère que ces informations supplémentaires vous aideront !
Bonjour,
Il n’y a aucune ambiguïté possible. Comme fritouille l’a précisé : « Et Jane Eyre se demande si son souci d’en savoir davantage sur Mr. Rochester n’a pas surpris Mrs. Fairfax, »
Donc, Joëlle a raison, sans conteste.
Bonjour Fritouille !
Pour ma part, je comprends qu’il y a deux femmes (la narratrice et son interlocutrice) qui discutent d’un homme.
(Dis-moi si si la situation n’est pas celle-là.)
Bonsoir Prince,
Je partage votre avis puisqu’il est écrit « l’avait-il ». « il » est bien mis pour un homme.
– Peut-être même mon souci d’en savoir davantage l’avait-il surpris
Il en aurait été différemment si la phrase avait été :
– Peut-être même mon souci d’en savoir davantage l’avait-elle surprise
* l’ = l’autre femme avec qui la narratrice discute.
(c’est écrit dans la question)
Bonsoir à tous !
1 Je maintiens que ‘énoncé initial (description de la situation + question proprement dite) de Fritouille n’est pas clair. Ce manque de clarté ne permettait pas de considérer catégoriquement que l’ = « l’autre femme avec qui la narratrice discute », même si cela était écrit. En effet, comment ici
ette femme pourrait-elle être, à la fois, la femme de qui la narratrice parle et celle avec qui elle discute ?
Rem. : Que l’ représente un homme était une hypothèse (formulée compte tenu du manque de clarté). J’ai du reste demandé à Fritouille de m’indiquer si cette hypothèse (2 F +1 H) correspondait à la situation.
2. Mais il y a bien plus : une des précisions apportées ensuite par Fritouille elle-même confirme le bien-fondé de mon hypothèse : l’ représente un homme, à savoir Mr Rochester. En effet, Fritouille écrit : « Dans le passage soumis, Jane Eyre et Mrs. Fairfax parlent de Mr. Rochester, » (= le noble dont Jane Eyre est tombée amoureuse).
Dès lors, l’accord en genre et en nombre avec le C.O.D. l’ conduit à écrire surpris (et non surprise), comme il est écrit dans l’ouvrage en la possession de fritouille.
3. Sans polémiquer le moins du monde (je connais les règles du forum), jl apparaît que le vote négatif est injustifié ; je demande donc qu’il soit retiré. Merci bien.
Bonne soirée ! 🙂
Estudiantin.
L’ est pas mis pour sa collègue, mais de l’homme qui est le sujet
de la discussion.
Ex: Sylvie parle à Nadia de Pierre
Mon souci d’en savoir davantage l’avait-il surpris ?
Qui ( est surpris ? )c’est Pierre pas Nadia
encore moins la narratrice.
joelle
* l’ = l’autre femme avec qui la narratrice discute.
(c’est écrit dans la question) ; il n’y a pas de Pierre…ni d’homme
il = le souci d’en savoir plus…
Pour l’interrogation, on répète le pronom :
« Mon souci vous semble-t-il excessif ? Il ne représente pas un homme mais le souci…
Estudiantin.
Ok joelle je vous fait confiance, donc Tony, Prince et moi
nous nous trompons donc…