288
points
Questions
89
Réponses
36
-
N’est-il pas possible (tout est possible… mais est-ce acceptable) de se servir d’un titre qui fait référence au contenu qui lui emboîte le pas, sans toutefois en dévoiler la teneur ? Stratagème pour inciter le potentiel lecteur à parcourir le chapitre en question, en suscitant sa curiosité. Il me semble qu’un titre similaire comme : « Je te l’avais dit ! » pourrait être valable, non ? Dans ce cas, pareillement, on ne sait pas ce qu’est cette chose dite. Idem pour : « Il fallait le laisser courir« . Ou encore : « Elle la veut« . Est-ce que « Elle la veut » ne ferait pas un bon titre ? Valable, acceptable ? Je n’essaye pas de vous forcer à valider le titre de chapitre imaginé (« Comment j’en suis arrivé à ce faire« ), mais de comprendre si le problème disqualifiant que vous me signalez en est vraiment un.
- 197 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Vous me conseillez donc de garder « …visite, il a cru devoir…« , Marcel1 ?
- 167 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Tara, je ne comprends pas… « La radio vient de nous relater l’histoire d’un mioche de onze ans ayant déposé une pêche si fétide que pour désempester les chiottes de sa grand-mère, à laquelle il rendait visite. Il a cru devoir vaporiser une bombe entière de… »
« …que pour… » ne peut être suivi d’un point. Mais je vous ai de toute évidence mal comprise. Comment comprendre votre réponse ?
- 167 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Ah, voilà, merci, je me disais bien qu’il y avait une donnée de laquelle je n’avais pas tenu compte… ! L’inversion verbe/sujet, qui disqualifie cette virgule.
- 179 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Ah, très bien. Merci, Tara. Hop, une nouvelle mise au point qui finira dans mon dossier nommé « en cas de doute ».
- 478 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
- 742 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
« On peut effectivement trouver tout et n’importe quoi chez certains auteurs, ce qui ne signifie pas pour autant que les tournures sont correctes. »
Mais les textes de ces auteurs sont examinés attentivement par des lecteurs — j’imagine — aussi au fait que vous tous du Projet Voltaire des subtilités de la langue française, avant publication. Je ne sais qui croire…
Par rapport au lien « «C’est la faute à» : ne faites plus l’erreur !« , je dirais que « c’est la faute à » n’est pas la même chose que « c’est faute à ». (Je ne doute pas que « c’est la faute à » soit incorrect.)
« À cause » pourrait fonctionner, à la place, mais j’ai déjà employé ce mot deux lignes plus haut.
Voilà ! Merci pour la virgule après le « qui », c’est ce qu’il fallait, en effet.
- 1310 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
J’ai pourtant trouvé dans nombre de livres l’emploi de cette formulation. Quelques exemples ici sous la forme de pièces jointes.
Qu’en pensez-vous ?
Et le sens de ma phrase est la suivante : les justifications de Séverine, censées apaiser les clients, peuvent aussi, dans certains cas, susciter la colère des clients. Le problème n’est pas l’absence de justifications, mais bien ces justifications elles-mêmes.
- 1310 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Merci pour cette confirmation, Tara.
Sur le Net on trouve n’importe quoi, de plus en plus n’importe quoi, mais j’effectue mes recherches dans la catégorie « livres » (cf. capture d’écran), bien plus fiable. Or, dans le cas ici présent, j’ai trouvé plusieurs livres où « Dites-le-vous » a été écrit avec un seul trait d’union. J’en ai été troublé, ainsi je vous ai posé la question.
- 7331 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Merci pour votre riche réponse, CParlotte.
« …un gain de notoriété et un avantage financier » résout mon problème. J’ai lu attentivement ce qui précède cette proposition.
Merci pour l’adresse de succinct Thésaurus en français sur le Wiktionnaire, une ressource que nous espérons un jour voir plus fournie.
- 1031 vues
- 7 réponses
- 0 votes