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Grand maître
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  • Grand maître Demandé 6 heures auparavant dans Général

    L’apostrophe signifie que l’on s’adresse à une personne, alors oui ! Que l’apostrophe soit avant ou après, la virgule est obligatoire :
    Tu en penses quoi, maman !
    Maman, tu en penses quoi ?

    Lisez ces phrases :
    Allons manger mamie.
    et
    Allons manger, mamie !
    (Eh oui, la virgule peut même sauver des vies),

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  • Grand maître Demandé 17 heures auparavant dans Accords

    Si vous êtes une femme, en effet on écrit vue.
    On accorde le participe avec le COD m’ placé avant et dans ce cas, on s’assure aussi que ledit COD fait bien l’action de l’infinitif.
    Il faut appliquer la règle de l’accord du participe passé suivi d’un infinitif.

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  • Grand maître Demandé le 13 décembre 2025 dans Accords

    Des moments d’amusement qui lui avaient manqué dans sa jeunesse.
    1) amusement reste au singulier, il s’agit de l’amusement en général
    2) manquer s’accorde comme la plupart des verbes avec un auxiliaire avoir : si le COD est après ou s’il n’y a pas de COD, le participe reste inchangé. Ici, lui est un COI
    Si vous avez connaissance d’un cas particulier, revenez pour le mentionner.

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  • Grand maître Demandé le 12 décembre 2025 dans Accords

    Vous avez raison dans l’ancienne orthographe : pour rappel, Si le complément direct de laisser est le sujet sous-entendu du verbe à l’infinitif, laissé peut s’accorder avec ce complément.Ses confrères ayant plus d’expérience, Louis les a laissés diriger la recherche.Épuisée, je me suis laissée tomber sur le lit.
    Ici, c’est l’élan qui emporte. 
    MAIS 
    La réforme de l’orthographe de 1990 a notamment introduit l’invariabilité du participe passé de laisser quand il est suivi d’un verbe à l’infinitif, tout comme l’est déjà le verbe faire : Quant à ma fille, je l’ai laissé choisir. C’est ma maison, je l’ai fait construire.

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  • Grand maître Demandé le 10 décembre 2025 dans Accords

    Réponse postée plusieurs heures auparavant mais non publiée pour défaut d’identification :

    Quand – dans une phrase – le pronom « en » représente le COD, le participe passé est invariable; dans votre phrase, « en » représente les grandes avenues, le COD, mais même si les deux sont placés avant, on n’accorde pas.
    Toutefois, il arrive que « en » ne représente pas le COD et auquel cas, il faut faire l’accord avec ledit COD placé avant : « mes parents vont bien, les nouvelles que j’en ai eues sont bonnes » ;ici « nouvelles » est COD placé avant : « en » représente « de mes parents », mais il faut accorder le PP avec le COD non repris par « en ».

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  • Grand maître Demandé le 8 décembre 2025 dans Accords

    Inspirer : Créer chez quelqu’un, en particulier chez un artiste, un état privilégié qui lui favorise la création, l’imagination, l’invention : Paris inspire de nombreux poètes.

    L’oiseau a inspiré les concepteurs du TGV.
    On ne dirait pas que le TGV a été inspiré par l’oiseau.

    Relie l’oiseau à l’innovation qu’il a suscitée ou provoquée.

    relie l’oiseau à l’innovation qu’elle a inspirée : cette phrase ne veut rien dire, ou sinon que l’innovation à inspiré l’oiseau….

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  • Grand maître Demandé le 5 décembre 2025 dans Conjugaison

    Il fallut très longtemps  pour qu’il accepte que son animal ne fût (n’était) plus.

    Vous vous demandez s’il faut le subjonctif après « j’accepte que  » ; spontanément je dirais : J’accepte que vous veniez, que vous soyez là….
    Toutefois, quelque chose me gêne avec la concordance à l’imparfait du subjonctif  du verbe être (ne fût). Je me demande en effet si l’euphémisme « il n’est plus » ne serait pas un peu figé et donc difficile à conjuguer….
    Par ailleurs, le subjonctif présent me semble suffisant ici, à la fois pour le verbe accepter et pour le verbe être, dans la mesure où le subjonctif a une  valeur modale et sur le plan temporel, l’animal est encore mort, donc un présent d’actualité.
    J’aurais effectué une concordance avec « il fallut » (pour être vraiment strict) : Il fallut très longtemps  pour qu’il acceptât / accepte que son animal ne soit plus.
    Plus simple : Il fallut très longtemps  pour qu’il accepte le décès de son animal.

    Je suis curieuse de savoir ce qu’en disent mes camarades.

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  • Grand maître Demandé le 5 décembre 2025 dans Question de langue

    Il faut qu’on lui donne la réponse : phrase de départ

    Il faut qu’on la lui donne : le pronom « la » remplace « la réponse ».
    Il le faut : le pronom « le » remplace « qu’on lui donne la réponse », La proposition subordonnée complétive a une fonction de COD dans la phrase.
    Les pronoms qui remplacent conservent cette fonction. Il le faut = le est COD.

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  • Grand maître Demandé le 4 décembre 2025 dans Question de langue

    Un argument par analogie est une argumentation comparative qui consiste à établir une ressemblance entre le sujet évoqué lors de son discours – ici la machine qui prend des données-, et une autre situation  – la bouche qui avale. Cette ressemblance sert à appuyer le discours, et fait office d’exemple pour étayer ses arguments.
    Vous avez très bien expliqué l’emploi du verbe « avaler » par analogie, mais il me semble que d’autres éléments de la langue peuvent être employés par analogie (fonctionnement similaire) ; ainsi on pourrait parler du « ventre » de la machine pour dire l’endroit où elle stocke et digère les données.
    D’ailleurs, on parle du « corps » d’une lettre, qui  est la partie centrale, pour marquer la différence avec l’entête (le haut) ou la signature (le bas).
    Remarque, certaines formulations de cette nature manquent de précision : que signifie « avaler » des données ? les perdre, les traiter, de quelle façon ?
    Une métaphore, qui n’utilise pas d’élément de comparaison, est aussi une analogie (fonctionne sur l’implicite) : « mon collègue est un pilier de la société » (il est un élément essentiel, voir l’image du pilier qui soutient une construction).
    N’hésitez pas à reposer vos questions si le site ne les  publie pas du premier coup.

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  • Grand maître Demandé le 30 novembre 2025 dans Accords

    Comme vous avez compris la règle, (sans FAILLES car si elles en avaient, il y en aurait plusieurs…), à vous de vous prononcer en fonction du sens et du contexte.
    Mais une personne sur qui l’on peut compter en toute sécurité, serait-elle sans FAILLE , infaillible ou fiable ?
    Mais une dictée serait-elle sans FILET (réalité abstraite!)… à préciser ?!
    Un couple sans enfant(s) ? à méditer

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