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  • Grand maître Demandé 6 jours auparavant dans Question de langue

    Bonjour,
    Les majuscules ne s’appliquent aux astres que lorsqu’ils ont valeur de toponymes, c’est-à-dire de lieux uniques de l’espace. Pas de majuscule donc, en dehors d’une leçon d’astronomie. Ici, vous employez ces noms d’objets de notre environnement dans une métaphore, ils commencent donc  sans complication par une minuscule : « Je me sens comme la lune illuminée par le soleil.« 

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  • Grand maître Demandé 6 jours auparavant dans Général

    Bonjour,
    L’ajout de que dans  ce genre de construction n’est pas utile. Cette option n’apporte rien de plus ni au sens ni à la syntaxe  :  c’est un que « explétif ». Elle pouvait marquer un registre soutenu , mais elle est plutôt considérée aujourd’hui comme une lourdeur.

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  • Grand maître Demandé le 16 novembre 2024 dans Accords

    Bonjour,
    Force est directement suivie du substantif (force réductions), mais pourquoi composer des phrases aussi indigestes ?
    Les réductions d’impôts fédéraux sont également nombreuses.

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  • Grand maître Demandé le 14 novembre 2024 dans Accords

    Bonsoir,
    Jouez avec le feu, et vous vous brûlerez.
    Ne jouez pas avec le feu, ou vous vous brûleriez.
    Dans ce jeu de constructions, impératif affirmatif + et / impératif négatif + ou, les conjonctions et et ou ne sont plus réellement coordonnantes mais remplacent des adverbes tels que alors et sinon.
    Après une assertion affirmative, on s’attend à une conséquence certaine, donc à un indicatif.
    Après une injonction négative, a priori irréalisée, la conséquence demeure une situation purement hypothétique, dont le conditionnel rend mieux compte.
    Ceci étant, le choix de l’autre mode reste éventuellement possible, selon que vous insistez plus ou moins sur le caractère inéluctable ou possible de la conséquence.
    N’essaie pas de me jouer un tour, ou je serais sans pitié ! me semble ici la  combinaison la plus cohérente

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  • Grand maître Demandé le 12 novembre 2024 dans Question de langue

    Bonsoir,
    on peut faire suivre le nom facilité d’un verbe à l’infinitif introduit par les prépositions à, de ou pour : Si vous avez des facilités à apprendre les langues étrangères, vous aurez la facilité de choisir celle qui vous plaît et cela sera aussi une facilité pour voyager. Il n’y a pas vraiment de règle ni formelle ni absolue.
    La préposition à convient  plutôt au sens d’aptitude exerçable par le sujet et se rencontre donc plus fréquemment derrière un article indéfini.
    La préposition de convient  mieux  au sens de qualité propre à l’objet et se rencontre donc plus fréquemment derrière un article défini.
    La préposition pour tend à se faire plus rare (vieilli ou littéraire selon le cnrtl) mais elle fonctionne bien dans tous les cas.

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  • Grand maître Demandé le 11 novembre 2024 dans Question de langue

    Bonjour,
    La fantaisie est un processus créatif. Elle résulte d’un désir, ou du moins d’un état d’esprit. Elle peut effectivement conduire à des résultats qui ne sont pas conformes au travail attendu. Ce que vous décrivez ressemble plus à de la négligence, de l’inconstance, de la désinvolture, de l’inattention…

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  • Grand maître Demandé le 10 novembre 2024 dans Question de langue

    Ce sont des usages de la langue qui existent et qui sont documentés dans le Grevisse, des tolérances et des simplifications de la combinaison le/lui qui d’ailleurs ne respecte jamais l’ordre ordinaire  : On me le fait… mais on inverse à la 3e pers.  : On le lui fait.., souvent simplifié en On lui fait.

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  • Grand maître Demandé le 10 novembre 2024 dans Général

    Bonjour,
    D’après Larousse le préfixe est séparable : S’en sont suivis est correct. Ensuite est redondant. Le passé simple (S’ensuivirent) est plus élégant.

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  • Grand maître Demandé le 8 novembre 2024 dans Général
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  • Grand maître Demandé le 6 novembre 2024 dans Conjugaison

    Bonjour,
    Le verbe de la proposition complétive qui suit le verbe espérer est le plus souvent conjugué à un temps de l’indicatif : J’espère que vous faites attention / J’espérais que tu avais compris. Avec votre exemple, la construction la plus évidente et la plus simple serait : « Il inspira profondément en fermant les yeux, espérant que son amie avait une endurance plus importante que la sienne.« 

    L’utilisation du subjonctif n’est cependant pas si rare, dès lors qu’on cherche à insister sur le caractère mental de la complétive. La concordance des temps voudrait qu’après une principale, on mît le verbe de la complétive à un temps passé du subjonctif « Il inspira profondément en fermant les yeux, espérant que son amie eût une endurance plus importante que la sienne. » mais il est toujours correct de se contenter du subjonctif présent, d’autant que dans cet exemple la capacité de l’amie ne représente pas un fait du passé mais une propriété constante « Il inspira profondément en fermant les yeux, espérant que son amie ait une endurance plus importante que la sienne.« 

    P.S. Vous pouvez aussi employer le conditionnel comme futur du passé « Il inspira profondément en fermant les yeux, espérant que son amie  aurait une endurance plus importante que la sienne.« 

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