proposition subordonnée relative
Dans les vers ci-dessous de Rimbaud, où s’arrête la proposition subordonnée relative (« Qui palpite là… ») et pourquoi ?
On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête…
on divague ; proposition indépendante
on se sent aux lèvres un baiser : proposition principale
qui palpite là, comme une petite bête… : proposition subordonnée relative
comme une petite bête est un complément de comparaison du verbe palpiter et appartient donc à la proposition dont ce verbe est le noyau.
Merci pour votre réponse précise et complète, chère et fidèle Tara !