« on les croirait être des… »
« C’est pourquoi, quand ils parlent la bouche partiellement emplie de ce jus rouge vif qui déborde sur leurs lèvres, on les croirait être des demeurés. Des vampires attardés. »
Je m’interroge sur la justesse de : « …on les croirait être des… »
Est-ce correct ? Ou me faut-il plutôt écrire : « …on les croirait demeurés » ?
Merci d’avance pour vos réponses.
C’est pourquoi, quand ils parlent la bouche partiellement emplie de ce jus rouge vif qui déborde sur leurs lèvres, on les croirait être des demeurés. Des vampires attardés.
Écrire plutôt :
C’est pourquoi, quand ils parlent avec plein la bouche de ce jus rouge vif qui déborde sur leurs lèvres, on croirait voir des demeurés. Des vampires attardés.
« Plein la bouche » est plus approximatif que « la bouche pleine » et évite la lourde précision de « partiellement ».
Merci, Tara.
En m’inspirant de votre « …on croirait voir des… », j’ai choisi d’écrire : « …on croirait avoir affaire à des… ».
Je sentais bien que l’initial « …on les croirait être des… » ne pouvait être correct !
« La bouche partiellement emplie » n’est pas très heureux.
Pour votre phrase, on emploiera plutôt la tournure « on croirait des demeurés / on croirait des vampires attardés« .
C’est pourquoi, quand ils parlent la bouche pleine de ce jus rouge vif qui (déborde) dégouline sur leurs lèvres, on croirait des demeurés. Des vampires attardés. »
« Quand ils parlent avec plein la bouche de » ???!!!……………
Excusez-moi Tara, mais c’est un peu beaucoup du charabia…