Nos grands auteurs

Répondu

Nos grands écrivains ont beaucoup à nous apporter et même à nous apprendre, ça n’est plus à prouver, mais…
J’ai trouvé cet extrait dans un article intéressant sur le sujet (voir ICI) :

« Victor Hugo, dont l’œuvre n’est pas exempte de fautes d’accord,  fit poliment remarquer à Lamartine qu’il avait laissé passer quelques incorrections. Ce dernier répondit : « Mon principe est cependant qu’il faut en faire en vers, sans cela la grammaire écrase la poésie. La grammaire n’a pas été faite pour nous ! »

Ma question est la suivante :
Devons-nous encore les citer sur ce site, en tant que référents, pour des questions de grammaire, de syntaxe, ou plus généralement de langue française ?
Ou bien faut-il estimer que certaines fautes sont « acceptables » dans la mesure où on les trouve chez nos grands auteurs ?

Cathy Lévy Grand maître Demandé le 31 octobre 2022 dans Question de langue

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11 réponse(s)
 
Meilleure réponse

Je préfère largement le mot erreur à faute, même pour les petits auteurs.

Une erreur de syntaxe, une impropriété restent des erreurs quelle que soit la personne qui la commette.

Il est possible que tel ou tel auteur, consciemment, fasse une entorse aux règles, pour créer du sens. La poésie le fait d’ailleurs souvent et en effet, on ne peut citer les « trouvailles » poétiques en exemple pour le bien parler.
Il se peut aussi qu’un néologisme, qu’une notion nouvelle ou retrouvée donnée à un mot, qu’un écart syntaxique signifiant, s’inscrivent dans la langue. C’est aussi comme cela qu’une langue évolue.
Cependant, la grammaire  normative a son rôle : éviter une évolution trop rapide de la langue et permettre qu’on se comprenne le plus longtemps possible entre générations.

Tara Grand maître Répondu le 31 octobre 2022

Oui Tara, et je suis comme chacun de vous, je suis pour l’évolution de la langue… mais dans certaines limites du respect des règles essentielles.

le 1 novembre 2022.

Bien entendu. Votre  question est intéressante. Je trouve.

le 2 novembre 2022.
Mme Cathy Lévy,

Votre problème, si vous me permettez, est que vous semblez considérer qu’il existe une entité sui generis nommée « la langue française », originellement pure et parfaite, et qu’il vous appartiendrait, ainsi qu’à quelques autres, de veiller à la sauvegarde de cette entité contre les méfaits de ceux qui l’utilisent à des fins de communication. Cette vision des choses est erronée. Aucune langue n’est pure, aucune langue n’est exempte d’apports étrangers, aucune langue ne vit par et pour elle-même. La langue française n’est rien d’autre que la langue parlée par les francophones, point.
« Je suis pour l’évolution de la langue… mais dans certaines limites du respect des règles essentielles », écrivez-vous. Mais quand donc comprendrez-vous que la langue n’attend pas votre approbation pour évoluer ?! Elle évolue parce que ses locuteurs la font évoluer, et vous aurez beau monter sur vos grands chevaux chaque fois que quelqu’un utilise un néologisme, ça n’empêchera pas ce néologisme d’entrer peu à peu dans le langage courant, que cela vous plaise ou non.
« Cessons de donner en exemple les tournures de nos grands écrivains, si elles sont en contradiction avec les règles essentielles de la langue », écrivez-vous encore. Pardonnez-moi mais… quelle démonstration éclatante de votre incompréhension totale de ce qu’est une langue vivante !!
Laissez la langue vivre et évoluer… de toute façon, c’est ce qu’elle fait 🙂
Groland Érudit Répondu le 2 novembre 2022

Non, les fautes commises par les grands auteurs ne sont pas acceptables.

Prince (archive) Débutant Répondu le 31 octobre 2022

Je suis bien de votre avis Prince.

le 1 novembre 2022.

Bonjour Cathy,
Intéressante question.
Je suis persuadé que la plupart des oui-mais-selon-le-sens basés sur un exemple écrit par un « auteur » sont en réalité des erreurs que les auteurs, les relecteurs, les correcteurs et les éditeurs n’ont pas vues.
Ensuite est venu le temps des « justifications ».

Ouatitm Grand maître Répondu le 31 octobre 2022

Oui Ouatim,

Mais par exemple dans l’article que je propose, les auteurs de l’ouvrage soulignent des erreurs qui ne le sont pas forcément pour moi.
Par exemple dans « Le Pont Mirabeau » je ne suis pas d’accord avec leur analyse, à mon sens « nos amours » n’est pas pas du tout COD de « couler » :

Le Pont Mirabeau

Guillaume Apollinaire

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine

le 1 novembre 2022.

C’est même une évidence que masque certes l’absence de ponctuation.

le 1 novembre 2022.

Cathy,

je dois avouer n’avoir pas ouvert le lien que vous avez proposé ; ma réponse se basait sur des souvenir d’accords acceptés avec « en »  comme COD antéposé, accords justifiés au moyen de citations piochées dans diverses publications.

Quant à Apollinaire, emporté sans doute par ses émotions, il aura sans doute décidé que fleuve et amours ne faisant qu’une seule coulée, l’accord sylleptique s’imposait. 😉

le 1 novembre 2022.

Non plus non…
Il est sur le pont Mirabeau, il regarde couler la seine et il se souvient de « nos amours », tout simplement.

le 5 novembre 2022.

Bonjour Cathy.
Vous avez raison, nombre d’exceptions aux règles de grammaire trouvent leur justification dans les citations des auteurs qui ont pu commettre eux aussi des fautes involontaires et non corrigées par les éditeurs. Il serait regrettable de déroger aux règles sous prétexte qu’un ou plusieurs auteurs l’ont fait.

PhL Grand maître Répondu le 31 octobre 2022

Je suis bien de votre avis PhL.

le 1 novembre 2022.

Querelle récurrente qui oppose les puristes (plus ou moins purs et plus ou moins durs) et les observateurs de la langue, objet dynamique en perpétuel mouvement. Cet article me semble être une subtile et excellente réponse à votre question.

 

Et deux exemples extraits de cet (également bon) article.

Sur le modèle de mots comme homicide, parricide, régicide, qui avaient été empruntés du latin, a été fabriqué en 1734, peut-être par plaisanterie , le nom suicide, avec comme premier élément le génitif du pronom réfléchi latin (oblitus sui, « qui oublie sa personne », littéralement « qui s’oublie ») ; le succès a été rapide puisque l’Académie française l’a admis dans son dictionnaire en 1762. L’action et l’acteur, désigné par le même nom, avaient besoin d’un verbe. D’où la naissance de se suicider en 1787 qui, lui aussi, se répandit très vite. Tout en reconnaissant qu’il est « très fréquemment employé », Littré concluait en 1872 : « Tout homme qui répugne aux barbarismes, même usuels, fera bien de s’abstenir de l’emploi de ce mot. » Le pléonasme est patent, sans doute, mais Grevisse constate que toute répugnance a disparu, même chez les écrivains les plus raffinés. Celui qui se servirait des substituts recommandés par Littré, se défaire, se détruire, ne serait pas compris, ce qui est contraire aux principes fondamentaux du langage.

Voici un exemple. Peut-on faire suivre le pronom démonstratif d’un participe passé ou présent comme dans « La blessure faite à une bête et celle faite à un esclave » ou d’un complément introduit par une autre préposition que de comme dans « Le paquet pour Votre Altesse et celui pour son ambassadeur » ? La première édition constatait que cet emploi « est blâmé par Littré et par la plupart des grammairiens » (sauf Brunot et Nyrop, est-il précisé). L’opinion de Grevisse est très prudente : « Cet emploi ne doit pas, semble-t-il, être absolument proscrit. Il se rencontre, rarement, il est vrai, au dix-septième et au dix-huitième siècle. » Suivent trois exemples pris chez Littré ; de Racine, de Montesquieu (la première des phrases que je viens de citer) et de Voltaire. Dernier alinéa : « Le tour incriminé est assez fréquent dans la littérature contemporaine », ce qu’appuient six exemples : de Gautier, France, Rodenbach, Loti, Dorgelès et Valéry. Dès la 2 e édition, en 1939, Grevisse ajoute quatre autres citations ; notamment une de Gide et, surtout, en note, après la formule Même emploi chez, il énumère, sans citer les textes, 12 nouvelles références, dont Sainte-Beuve, Maupassant, Mérimée, Montherlant, Bernanos. L’opinion prudente est remplacée par une conclusion nette : « Cet emploi a reçu la sanction du bon usage. » Les références ne cesseront de croître d’une édition à l’autre : plus de 60 en 1980 dans la dernière édition. à quoi bon un tel étalage ? dira-t-on. Mais la résistance du clan puriste n’a pas désarmé, et quelques années avant cette édition l’Académie avait renouvelé l’anathème.

marcel1 Grand maître Répondu le 31 octobre 2022

Votre message est intéressant Marcel.
Juste une remarque.
Les deux grammaires, descriptive et normatives sont complémentaires et devraient être considérées (et utilisées) comme telles.

le 31 octobre 2022.

C’est précisément la position de Grevisse  : ni strictement normatif, ni strictement descriptif.

le 31 octobre 2022.

Bonjour,

Autant la création de néologisme ne doit être restreinte que par une éventuelle équivalence( et encore, « impacter » en est un contre-exemple), autant les changements grammaticaux doivent tout de même se justifier un peu plus précisément.

 

le 31 octobre 2022.

Oui bien sûr. Mais si une erreur syntaxique est reprise et se répète…

le 31 octobre 2022.

Oui Marcel, nous savons bien tout ça.
Mais, par exemple, « Aujourd’hui » est un pléonasme entré dans la langue académique.
Faut-il pour autant accepter désormais « Au jour d’aujourd’hui  » sous prétexte que de plus en plus de gens emploient cette tournure ?

le 1 novembre 2022.

Eh bien, si nous savons bien tout ça, nous savons également que c’est l’usage qui en fin de compte décidera et que seul le temps apportera la réponse à votre question.

Peut-être qu’un premier pas est en train d’être franchi, puisque je note sous la plume de l’Académie « […] mais en elle-même, cette tournure n’est pas incorrecte. »

le 1 novembre 2022.

Eh bien… heureusement que le ridicule ne tue pas !

Groland Érudit Répondu le 31 octobre 2022

Assez-t-il-tout-étant, la question mérite d’être une question , non ?

le 31 octobre 2022.

Salut Ouatitm… et merci pour le clin d’oeil 😉

Non, la question ne mérite pas d’en être une, cent fois non ! Victor Hugo a commis quelques fautes de français ? La belle affaire ! Il nous a légué les plus belles pages de la littérature française, peut-être même de la littérature mondiale… Cathy Lévy, Prince, PhL, Tara, marcel1, vous-même et moi-même serons morts et enterrés (métaphoriquement parlant) d’ici quelques années, tandis que Victor Hugo continuera à vivre à travers ses oeuvres dans plusieurs siècles; quelle prétention de vouloir lui donner des leçons et le sanctionner en cessant de le reconnaître sur ce site comme un référent !!! C’est odieux et ridicule. Eminemment ridicule.

le 31 octobre 2022.

Qui a parlé de sanction ? Je trouve incroyable, que, chaque fois qu’il s’agit d’orthographe, on sorte le vocabulaire lourd : faute, sanction, donner des leçons…
Je ne dirai pourtant pas que c’est ridicule ; non : c’est seulement le résultat d’un fort conditionnement où il n’est pas question d’erreur, d’analyse et de curiosité mais de culpabilité et de honte.
Rien d’étonnant alors qu’on s’offusque de voir relever des erreurs dans l’écriture des plus grands auteurs (que pour ma part j’admire et respecte d’ailleurs certainement au moins autant que vous, ce qui est sans doute le cas aussi de Cathy Lévy, Prince, PhL et marcel1 ).
Faites une pause un instant, Groland, avant de traiter votre prochain, votre semblable -ou du moins son comportement- de « éminemment ridicule ».
Ce qui pourrait bien le friser, ce ridicule, c’est d’imaginer un instant qu’un mot orthographié de façon fantaisiste, qu’une formulation non conforme, pourraient affecter chez quiconque la reconnaissance d’un talent ou d’un génie littéraire.

le 31 octobre 2022.

Chère Tara,

Je ne m’offusque pas, je souligne simplement le caractère risible et grotesque d’une publication sur un site qui existe depuis pas même une décennie et qui entend s’élever en maître d’auteurs de génie sans pour autant parvenir à la cheville de ces derniers. Vous et vos semblables n’êtes bons qu’à compter les bons et les mauvais points… continuez donc à ânonner les règles sans âme des livres de grammaire et laissez la littérature à ceux pour qui la langue française vole bien au-dessus de ces mesquineries abstruses.

le 31 octobre 2022.

Bonsoir,
je m’incruste dans cet échange.Il ne me semble pas qu’il s’agisse de donner de bons ou mauvais points, mais bel et bien de faire d’une erreur une exception valide avec pour seule caution la célébrité ou la *réputation ». Un écrivain fait ce qu’il veut, même le plus modeste d’entre eux. Mais ce n’est pas parce qu’il écrira: C’est qu’est-ce qu’il a dit  que la locution en deviendra correcte.

le 31 octobre 2022.

Pourquoi, Groland un tel dédain ? « vous n’êtes bons qu’à compter… » .
Que faites-vous vous-même à notre égard, précisément, autre que nous jauger, nous juger ?
Si vous n’êtes pas d’accord avec ce que nous disons, ayez donc la bonté de descendre jusqu’à nous avec humilité et bienveillance pour nous expliquer les choses.
En ce qui me concerne, j’aime beaucoup quand on n’est pas de mon avis, si on m’amène à réfléchir et même à me faire considérer les choses autrement : un enrichissement.

le 1 novembre 2022.

Que des nains de la pensée s’exercent régulièrement à fouiller les grands auteurs pour y dénicher de prétendues erreurs n’est pas une nouveauté. Leur inculture n’a souvent d’égal que la médiocrité de leur propos.
Les citations ne servent qu’à imager ou parachever un raisonnement, de la même manière qu’on n’applique des valeurs chiffrées qu’à l’issue d’une démonstration mathématique. Elles ne sont donc qu’une illustration d’une règle générale ou des nuances exposées auparavant. Quel intérêt de mettre en valeur tout ce qui est exception, anomalie ou qui « complique » ce qui doit être « expliqué » ?

Chambaron Grand maître Répondu le 1 novembre 2022

J’ai toujours apprécié votre philosophie Chambaron, et votre façon d’aborder les questions de langue, vous voyez bien souvent juste…

le 3 novembre 2022.

Merci !

le 6 novembre 2022.

Chers tous,

Merci infiniment pour vos réponses, que je trouve toutes très intéressantes et très respectables !

Je ne m’attendais pas à déchaîner les passions…
La plupart d’entre vous avez bien compris mon propos :
Je ne suis pas en train de juger, noter, évaluer la qualité d’un écrivain, son style, sa façon d’exprimer ses émotions, bien au contraire !
J’ai une passion et une admiration sans limite pour Victor Hugo et bon nombre de nos grands auteurs. Mais ce piédestal sur lequel nous les plaçons ne doit pas non plus nous faire perdre de vue la langue française elle-même.
Si mon auteur préféré écrit « je te aime » je vais trouver ça tout à fait charmant, mais si un étudiant étranger me pose la question, je lui expliquerai que la bonne tournure est « je t’aime ».
En revanche, même chez mon auteur préféré, je serai très dérangée par des erreurs élémentaires, des fautes d’accord, des barbarismes injustifiés. Et cela aura même tendance à le faire descendre de son piédestal à mes yeux.
Mais ça, ça me regarde…

D’autre part, comme plusieurs d’entre vous le soulignent, certains termes, certaines tournures du 16e siècle par exemple n’ont plus la même signification aujourd’hui, ou sont tombés en désuétude. C’est bien ça l’évolution d’une langue.
Malgré tout, il y a plusieurs sens au mot « évolution » :
Quand on dit d’une maladie qu’elle « évolue » c’est qu’elle s’aggrave…
Aussi, je suis farouchement opposée aux néologismes et tournures inventées qui l’appauvrissent,  la rendent vulgaire, commune, et n’ont aucun intérêt purement linguistique.

Et puis surtout, je suis tout à fait d’accord avec Lamartine, pour un poète la grammaire ne doit pas être un carcan.
Nous l’avons souvent vu ici, certains auteurs prennent des libertés avec la ponctuation, la syntaxe, dans certains buts très précis, et ils ont bien raison ! C’est ce qui fait la beauté de leurs textes.
Vous pouvez me rendre cette justice, je l’ai toujours dit ici : un auteur est libre d’écrire comme il le veut, c’est bien la moindre de ses libertés.
Reste à être compris de ses lecteurs… mais surtout ses tournures n’engagent que lui !

Et c’est bien mon propos ici : cessons de donner en exemple les tournures de nos grands écrivains, si elles sont en contradiction avec les règles essentielles de la langue.
Idem pour les tournures et termes inappropriés ou purement fantaisistes que certains réussissent quand même à dénicher en cherchant bien, sur un vague site, dans les paroles d’un vague rap, sur un vague forum………

Cathy Lévy Grand maître Répondu le 1 novembre 2022

En l’état actuel de la langue, je crois que personne d’à peu près sensé n’irait affirmer l’acceptabilité d’un Je te aime au seul prétexte qu’on trouve cette forme sous la plume d’un auteur aussi grand fût-il.
Si c’est ainsi que vous pensez que Grevisse, les lexicographes, ou d’autres citent les auteurs, vous n’avez pas compris l’essence de leur démarche.

Je n’aurais pas imaginé que des personnes un peu au fait du fonctionnement des langues puissent user de ce type d’arguments : « néologismes et tournures inventées qui l’appauvrissent,  la rendent vulgaire, commune, et n’ont aucun intérêt purement linguistique. » au café du commerce, bon, ça passe, ça fait même sourire, ici, ça ferait plutôt pleurer.

(évoluer – même dans son acception médicale – est neutre : l’évolution peut aussi bien être positive que négative.)

le 1 novembre 2022.

Je donnais l’exemple de « je te aime« , qu’un auteur peut mettre dans la bouche d’un enfant, d’un amoureux qui dirait ça par jeu, tout comme « je te hai-me« , par exemple.
Dans ces cas, l’auteur a une bonne raison de faire ce genre « d’erreurs  calculées », si j’ose dire.

le 2 novembre 2022.

Groland,

Je n’ai pas de problème, si vous me permettez. Et je vous dispense de vos leçons.
Je vous trouve agressif, et assommant, ce ton est inutile, et m’enlève toute envie de vous lire ou de converser avec vous.
Vous avez la prétention de m’expliquer la vie et la langue française, vous qui êtes visiblement un esprit supérieur ?
Je vous en dispense également.
À bon entendeur !

Cathy Lévy Grand maître Répondu le 2 novembre 2022

Je me suis fait la même remarque, Cathy,  à lire le développement de la « conversation ».  On ne peut pas dire que la bienveillance anime certains d’entre nous. Ni l’écoute, ce qui est plus grave ici qu’au café du commerce. Mais quel plaisir peut-on prendre à dénigrer ainsi les gens ? Du coup (je sais, mais j’ai envie de dire « du coup »), du coup donc, on n’a plus envie  de pousser plus avant ou ailleurs la discussion. Dommage…

le 2 novembre 2022.

On a beau changer de pseudo, ça ne change rien au style, hélas, bien reconnaissable…
Laissez aller, c’est une valse………………………………

le 3 novembre 2022.

Tara,
Veuillez lire mon message pour vous en page 2. Je trouve vos contributions fort appréciables.

le 5 novembre 2022.

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