La question à se poser : qui est entouré , pas les étapes, mais les gens qui fêtent.
Donc dans le pire des cas, si vous ne changez pas votre phrase
Certaines étapes méritent de se fêter,  ENTOURÉS des gens que l’on aime (sous-entendu : ceux qui fêtent).
Mais là, vous avez une rupture de construction : ça ne va pas au niveau de la phrase car le référent de « entourés » n’est pas mentionné.

Nous souhaitons fêter certaines étapes, entourés de … = entourés se rapporte bien à nous. 

L’accord ne se fait pas avec « fêtes » :
Certaines étapes méritent de se fêter entouré/entourés  des gens qu’on aime.

Parce que la phrase signifie :
Certaines étapes méritent qu’on les fête, entouré / entourés des gens qu’on aime.

Le participe passé renvoie au sujet « on » qui est singulier pour une généralisation ou pluriel s’il remplace « nous ».

Quand vous dites « résoudre une interrogation », vous voulez dire « répondre à une question » ?
Vous avez bien conscience que votre phrase n’est pas écrite en français ?
Pourquoi parlez-vous comme ça ? Diriez-vous cette phrase à un ami : « j’aimerais résoudre cette interrogation » ?
Si vous parlez français, écrivez dans notre langue commune, le français. Ne croyez surtout pas qu’il faille articuler au hasard des mots abstraits avec des résultats incertains pour faire partie du petit club des gens qui parlent français. Pour parler français, il faut aligner des mots qui ensemble forment un sens compréhensible par tous.
Cessez de dire ou d’écrire « résoudre mon interrogation ». Comment voulez-vous qu’on réponde sérieusement à quelqu’un qui ne réussit pas à poser une question correctement ?