Bonjour Alain,

==> le soulagement que nous éprouvons à nous éloigner d’un espace qui nous oppresse.

À mon avis, l’emploi du on pour le nous implique nécessairement ce genre d’écart à la règle sur le nous final. Cela me parait quand même du bon français, inconvenant dans un rapport mais seyant au récit littéraire.
Par ailleurs, transformer le s’éloigner en nous éloigner me paraît loin d’être obligatoire, parce que le verbe est à l’infinitif.