Bonjour et Merci de bien vouloir me préciser si ces deux tournures sont correctes.
La sieste a élevé la température de ce corps alangui qui a abandonné toute bienséance dans une posture inconfortable et impudique, proche de l’indécence,
– pour peu que sa longue jambe ne s’ouvrît plus encore.
ou
– si peu que sa longue jambe ne s’ouvre plus encore.
Bonjour et merci pour vos expertes réponses. En fait il s’agit de la description d’une toile. Le narrateur détaille en tête de chapitre la scène du tableau. La connaissance de cette composition va servir, dans ce chapitre, de support narratif et justifier auprès du lecteur la raison de l’évocation du songe que le personnage à fait la nuit précédente.
Le texte est au passé, c’est donc le subjonctif imparfait qui convient.
– pour peu que sa longue jambe ne s’ouvrît plus encore.
Ce temps « passe » bien à la 3e personne du singulier.
Mais on pourra accepter le présent du subjonctif,
– si peu que sa longue jambe ne s’ouvre plus encore.
Bonjour et merci pour votre réponse. J’ai donc retenu cette tournure.