comment en pouvait-il être autrement
Bonjour,
Je me tourne vers Édouard. Il est réveillé – comment en pouvait-il être autrement ? (*) – et semble nous observer avec amusement.
(*) à cause du bruit
D’après vous, est-il possible de remplacer « en pouvait-il » par « en pourrait-il » ou « se pouvait-il » ou « se pourrait-il » ? Quelles tournures sont correctes ici ?
Merci
Voici les phrases correctes. Notez la place du pronom « en ».
Le conditionnel donne un degré de plus dans la spéculation, et verse dans l’irréel.
Je me tourne vers Édouard. Il est réveillé – comment en pouvait-il en être autrement ? – et semble nous observer avec amusement.
Je me tourne vers Édouard. Il est réveillé – comment pourrait-il en être autrement ? (– et semble nous observer avec amusement.
Je me tourne vers Édouard. Il est réveillé – comment se pouvait-il qu’il en soit autrement ? – et semble nous observer avec amusement.
Je me tourne vers Édouard. Il est réveillé – comment se pourrait-il qu’il en soit autrement ? – et semble nous observer avec amusement.
Merci !
Pour ma part , soit : comment pourrait-il en être autrement ?
soit, si la récit utilise un présent de narration : comment pouvait-il en être autrement ? Sinon : comment peut-il en être autrement ?
(Cher Grand Maître, il y a un en de trop dans votre première phrase) 🙂
Selon vous, quel temps, l’imparfait ou le conditionnel, est préférable dans mon contexte ?
Pour vous répondre, il faudrait précisément que vous nous donniez du contexte… 😉